Quinzième. La place de la France au classement de l'International Board ? L'arrondissement parisien où devrait prochainement agaper la Comme Fou ? Non ! La place de la France sur l'échelle mondiale du bonheur selon les indices Stiglitz, du nom de cet économiste américain Prix Nobel en 2001... Quinzième derrière tous les autres grands pays developpés. Les indices choisis ? Taux de mortalité infantile, nombre de suicides, pureté de l'air, droits de la femme, formation professionnelle, durée de vie, etc... Ca fait mal.
Cent. Le nombre de messages de la Comme Fou.
L'un compense avantageusement l'autre, n'est-ce pas ?
26 commentaires:
Avant on avait le bon vieux Gag 40.
Euh, là, on doit pas faire rire grand monde...
15 comme une équipe oblongue...pas si mal surtout depuis que ça se joue à 22 cette affaire-là
Vingt-deux ? Vingt-trois avec la carence en mêlée... Et "le groupe"... Plein la bouche du groupe qu'ils en ont... Le groupe ci, le groupe ça. Ca dédouanne d'avoir composé une mauvaise équipe. Le groupe vit bien, qu'ils disent. Moi, je préfère quand l'équipe joue bien.
ah ça c'est la scie lancinante du rubis pro mon cher...cette histoire de groupe qui vit bien ensemble, qui ne lâchera rien, longtemps que ça m'a presque détourné du truc, je préfère saisir les bribes d'une conversation d'un Serrières, d'un Blanc...même si...et oui revenir à Colombes avant que demolition man...pas que la carence en mêlée la carence en tout ou presque...je joue les Cassandre...peut-être mais ça ne m'empêche pas de repiquer au truc dès que...pour le reste voilà je suis un indécrottable romantique au point de m'écouter un mauvais album, trop de solos gras entre autres, de David Gilmour mais ça et là l'arabesque l'envolée du Pink Floyd...tiens d'ailleurs après ce match à Colombes, mémorable branlée la vache, je l'entends encore le coach " un Pink Floyd Jeantet, c'est ça que t'es un ailier Pink Floyd!! le prochain coup t'as qu'à jouer avec un brin d'herbe aux lèvres..." Ah le bon temps...
Je sais bien qu'on n'a pas ici affaire aux fâcheux de l'orthographe et de la syntaxe mais "saisir les bribes d'une conversation entre un Serrières et un Blanc" mieux comme ça tout de même ..."Un Pink Floyd Jeantet!! " oui Babar, oui, oui ...sometimes vous me manquez vieux coach...sometimes ce temps des cadets...mon beau souci
Toi, t'étais un Pink Floyd d'ailier, mon surnom à moi c'était Victor Escot, allusion à Victor Hugo du jour où ailier désoeuvré le long de la ligne regardant passer un vol d'oiseaux de mer dans le beau ciel d'Aunis (y'a pas de contrepéterie),j'ai pris sur le sommet du crâne le ballon qui m'étais adressé par un partenaire qui m'attendait en débordement. Voilà.
Ritchie tu m'as bien fait rire avec ton œuf sur le crâne en regardant passer les oiseaux!
Ah je me fais un vrai plaisir de vous voir tous en réel jeudi prochain…
Retrouvé dans mes carnets, René Char, bien sûr : “Quand s’ébranla le barrage de l’homme, aspiré par la faille géante de l’abandon du divin, des mots dans le lointain, des mots qui ne voulaient pas se perdre, tentèrent de résister à l’exorbitante poussée. Là se décida la dynastie de leur sens. J’ai couru jusqu’à l’issue de cette nuit diluvienne. Planté dans le flageolant petit jour, ma ceinture pleine de saisons, je vous attends, ô mes amis qui allez venir. Déjà je vous devine derrière la noirceur de l’horizon. Mon âtre ne tarit pas de vœux pour vos maisons. Et mon bâton de cyprès rit de tout son coeur pour vous.”
Oui là scotché. J'ai un peu de René Char en stock mais pas comme ça pas tout de suite. Je savoure d'abord tes lignes, cds. Le bonheur de se retrouver, sûr, et l'impatience en préambule. Cela dit, nous les anciens du truc, ce sera notre quatrième de Crazy Ruck, mais il est renouvellé par la présence de jeunes pousses, de nouvelles têtes, de vieilles cannes, de fous encore.
15èmes, et on se lève certains jours avec le moral en tire-bouchon et la bonne humeur du barracuda hépatique...
Ayons tout de même une pensée pour nos semblables qui vivent dans le 195ème, le 194ème, le 193ème, le 192ème, et les autres ! la recherche du bonheur est frustrante pour ceux qui en sont les plus proches et c'est sans doute un concept parfaitement abstrait pour beaucoup d'autres.
Bon appétit au Crazy Ruck, et tâchez de bien rester sur vos appuis...
De René Char, cette merveille : "J'ai pesé de tout mon désir sur ta beauté matinale". Non?
Sans char,mais avec nos ancêtres René et les autres,certains "comme fou" eux ont bien vécus (façon de parler!) quinze cent quinze,et n'en sont pas revenus ou en piteux états!Première fois que l'artillerie était de sortie et pourtant cela ne coincide t'il pas avec le début de la Renaissance?Alors tout n'est peut être pas encore perdu...Amis,ensemble protégeons "La vie des autres".
Seb n'en manque pas une, hein ? Mais où vas-tu chercher tout ça... T'as une liste ou bien ?
Gilles, es-tu des nôtres jeudi. Perso, ça me ferait plaisir. Troisième ligne aile grand rayon d'action. c'est parfait pour toi. Tu t'inscris ou quoi ?
"t'es un vrai Pink Floyd!"
Putaing! ça faisait longtemps que je ne l'avais pas entendu celle là...C'est pas aussi beau que du Char, mais ça me met un sacré coup de manivelle en arrière...Que du bonheur! Merci Benoit!
Et par la même, moi aussi je vous souhaite un bon appétit pour ce fameux 8...
Toc Toc, quel plaisir de relire René Char...c'est grâce à lui, que j'ai abordé la couleur...sans peur...
toute la série de Pre-textes, existe grâce à René Char !
Je penserai à vous le 8 !
Tu vois, Rosa, Ren,é Char fait le lien ici entre le rugby et l'art. il fut un ancien robuste deuxième ligne. Lui et Soulages, et Juliet aussi, pratiquaient ce sport complexe et parfois si simple...
Nous aussi nous penserons à toi.
Le grand rayon d'action s'est au fil du temps considérablement rétréci mon jeune Ritchie ("Tu as 50 ans et je ne les ai plus parce que des 50 ans il n'y en pas pour tout le monde!". Elle est de qui et par qui celle-là? Une piste, il s'agissait en fait de 17 ans). Quoique intimidé, c'est si royalement proposé que je ne peux me défiler... Donc à nous revoir, mon cher, le 8 à BB.
Rimbaud ?
Et à jeudi !
On n'est pas sérieux quand on a 17 ans...et quand on a 50?
Pour info Ritchie aucune liste imprimée,juste des péllicules crâniennes en noirs et blancs ou colorisées.Si j'ai quelques Lumières je le dois à mes Frères!Mélies,Welles,Leone,Kubrick et les autres...D'images cinématographiques je me nourris "Le Cerveau" (pas celui d'Oury),je m'enrichis,je voyage,je côtoie des ours à Berlin,ou d'ailleurs souvent j'ai franchi "The Wall",que je connais Parker!Il m'arrive de me gondoler avec des lions à Venise,je me sculpte la pensée avec des César sans Rosalie,je rends annuellement visite à Oscar,"Mon oncle d'Amérique".A chaque fois,de magnifiques aventures humaines,en or massif,ou "Les Temps Modernes" s'associent aux "Temps des Gitans".Alors en évitant de passer pour un Charlot ou un Emir,je dois bien avouer quand même,que la palme de la mémoire revient sans équivoque, à "La Liste de Schindler".
Ca va, ça va, j'ai compris... C'est pas le Top 14 avec toi, c'est le Super 8...
Non, pas Rimbaud, Henri Jeanson dialoguiste d'un joli petit film de Marc Allégret "Entrée des artistes" (1938); et dans la bouche de Louis Jouvet, la phrase valait son pesant d'or. Et puis, chère Rosa, 17 ans, 50 ans, 68 ans... Alphonse Allais (Jeanson, Allais, ça date?) disait "Les gens qui ne rient jamais ne sont pas des gens sérieux"...
Enorme ! Ca va me faire mon dimanche au bureau...
Bon appétit à vous tous!
Si je compte bien, vous serez 12. Avec un petit effort supplémentaire, vous auriez pu être 15 !
Bon Crazy Ruck et soyez "Fous" !
Mme Rab....
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