samedi 29 octobre 2011
Casting idéal
Le meilleur journaliste de rugby - plaque sensible, plume lyrique, mémoire sélective - sur le plus beau terrain du monde. Olivier Margot a débuté dans la profession sous l'aile de Robert Barran, dans les pages de 'Miroir du Rugby'. Le terrain, lui, donne sur la plage de Piaha, en Nouvelle-Zélande. Belle sortie. Elle m'a changé des conférences de presse de Lièvremont dont on avait l'impression qu'elles étaient les moments les plus importants de ce Mondial, des réparties vaseuses d'une partie des Tricolores, des matches brouillons. Olivier était déjà néo-zélandais en 1987. Lisez son édito dans L'Equipe Mag de samedi. Et sa saga, pages 86 à 96, écrite au soir de notre balade maritime. Pas une once de nostalgie. La marque des grands. La finale de 2011 s'inscrit dans le proglongement direct de quelques millésimes, Springs 1964, Colombes 1961 ou 1955, combats sans concession, scores étriqués. Margot-Piha, l'association idéale pour une journée au pays du long nuage blanc.
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18 commentaires:
Tu ne voudrais pas lui proposer de rucker avec nous?
Avec grand plaisir... Bonne idée
Je suis de recevoir un sms d'Olivier. Il sera des nôtres jeudi 10.
C'est Benoit qui va faire la gueule. Benoit, il va falloir que tu annules ton boulot avec les gamins, hein ? C'est pas possible autrement. Il faut que tu leur fasses comprendre que tu es indisponible...
Qui est officiellement inscrit sur la feuille de match du jeudi 10 ? en dehors de Seb et de bibi ?
Génial !
J'en suis. Je crois que le Tigre et Gilles également.
Bon, va falloir qu'on se compte, rien que pour le plan de table ;-)
Gilles, Ritchie, Olivier, Antoine, Seb et ma pomme, ça fait 6.
Next?
J'ai eu Juanito à l'instant. Il sera là pour le déj.
Oui, le 10 est bien noté sur mon agenda, mais plutôt 12h30 que 11h (et, bien sûr, je me réjouis...).
11h, c'est pour l'apéro. Sorte d'échauffement. Le coup d'envoi est bien donné à 12h30 pétantes.
Muy bien...
Je dirais même 12h30 pétillantes.
Ah oui, j'ai lu tout ça, hier et c'est vrai que...Grande admiration pour le journaliste et la plume qu'il est, mais rien que tu ne saches déjà, Richard. Pour le reste, "Woody" Margot ou pas, je n'ai qu'une parole et puis parole donnée à des gamins ( et à leur instit')ça ne se renie pas, donc, je vous rejoindrai vers 20h, maintenant que rue de la soif( l'endroit que je déteste le plus au monde, bref) no way, vous rejoindrai où vous serez et voili.
On (je) te regrettera cher graphomane!
Mais si un jour tu "montes à la capitale"...
Je serai là le soir, Gilles, donc...nous nous retrouverons toutes et tous et c'est bien cela l'essentiel. Vendredi, sinon, j'y suis à Paris, voilà, voilà...La bise.
Pour l'instant, c'est un format parfaitement rugbystique qui se dessine puisque nous serons 7...
7 est un joli nombre... mais je préfère 8 comme le pack...
Comptez moi apéro, mezze et prolongations...
Un pack de bières, demanderait M. Lièvremont ?
Un ruck qui se terminera peut-être rue du Pack (clin d'oeil appuyé à D. Lalanne).
Putaing, je sens que ça va être une grosse grosse journée... Va faloir être en forme, copaings. Et pour l'instant, pas de femmes à l'horizon, ni Gaby, ni Cécile, ni Laurence...
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