mercredi 9 novembre 2011
La chasse est fermée
C'est l'histoire d'un type qui s'occupait il y a très peu de temps d'une équipe nationale et qui n'aimait pas les journalistes. On peut le comprendre. Il est invité, il y a quelques jours de cela, à table-ronder dans une école. Pas n'importe quelle école : une école de journalisme. Là, on ne comprend plus. Il répond, face à une vingtaine de micros - ça enregistre, les étudiants en école de journalisme -, des stylos (une bonne cinquantaine) et quelques caméras. Les cameras de l'école, mais quand même. Il a juste demandé à ce qu'aucun journaliste encartés ne soit présent dans la salle de classe... Que des élèves, donc. Voilà, c'est terminé, super, sympa, merci... Et puis soudain il demande : "Mais qu'est-ce que vous allez en faire de tout ça ?" Réponses : on va le mettre sur internet, et sur le site de l'école, et dans nos blogs, pourquoi ? Surprise de l'ex-coach : Non, c'était pas prévu ! Ca ne sortira pas de la pièce. Une heure de palabres n'y suffiront pas. Le type refusera que ses propos soient diffusés. Il croyait quoi ? Que les étudiants d'une école de journalisme ne diffusent pas, ne bloguent pas ? A eux - qui vont bientôt bosser - je dis : bienvenue dans le monde merveilleux des conférences de presse...
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16 commentaires:
Je suis obligé d'entrer sur ce message via ma propre "porte d'entrée". Il y a comme un bloquage.
Vous confirmez, les ami(e)s ou c'est mon ordi qui déconne ?
Sérieux...
Pour moi aucun problème!
Putaing, ça commence bien...
C'est si grave ce qu'il a bavé?
Bon ben merci Pierrot, le Christian. Du coup, j'ai appelé Juanito. je croyais que c'était un coup des Intégristes. T'imagines si on est con dans ces cas-là... Bref, en trente secondes montre en main et de l'autre mon téléphone, Juanito - qui sera des nôtres demain - m'a réparé le bordel. Le top, ce mec. Mister Fix-It !
hé hé hé !!!
En attendant, cliquez donc sur le lien.
Pierrot, je ne pense pas que cela commence bien, mais plutôt que ça se finit mal...
Eh, Juanito, t'as pas la même avec Sarko... mets pas la date, ou alors juste mai 2012 ;-)
Et pour l'épitaphe, "No Zob in Job"... fallait bien qu'on évoque Giulia.
Bien joué Juanito...
Si on veut essayer un jeu de mot, pour Sarko, ce serait "tirer l'échelle".
C'était bien ce déjeuner les amis, j'étais ravi de vous voir et d'écouter les "souvenirs de voyage" de Ritchie...
Plaisir partagé, cher Gilles... Ton échange avec OlivierM. sur les stades était très instructif.
A un prochain déjeuner, nous évoquerons les premiers stades... architecture, société, argent, il y a de jolis sujets...
(en lien sous mon prénom, l'érection de la première tribune de l'Arms Park, 1885)
Très bel objet cher Frédéric, tout à fait dans le goût indien (les voyages militaires forment le regard...).
Oui, c'était très " bien", ce ruck. Mais celui qui sera encore "plus bien ", comme dirait ma fille Lucie, c'est toujours le crazy ruck à venir. De la Rue de Bièvre à Marmande (Francis), n'est-ce pas Gilles, nos rucks sont toujours de beaux et doux moments de fraternité. Et, en plus, si au prochain, Seb pouvait éviter de se ronger les ongles jusqu'aux lunules ( je taquine, seb, tu le sais bien)....Fred, ton maniement si expert de tous ces gadgets hi tech itou me scotche et m'emerveille à chaque fois. Pas que ça, d'ailleurs.Bref. Bon match, ce soir à Colombes, à toi tes loupiots. Richard, avec toi, on fait toujours de grands voyages, chaque escale c'est comme une fenêtre que tu ouvres en grand sur le monde. Sinon,heu...ahem... j'ai des clients qui me tannent quasi chaque jour au tel, rapport à la piètre qualité de ces ballons que tu as eu la gentillesse d'écouler via mon réseau de...bref, enfin, tu vois quoi. Antoine, tu es un plaisir de la conversation à toi tout seul. Tigre, la prochaine fois, promis, je te vole l'impact (private joke). Winrab et sa moitié, c'était vraiment très chouette d'avoir fait le crochet jusqu'à nous. Idem pour toi, cher Pierre, dans le fond beaucoup plus "rugby" que tu ne le penses hé oui, mon gars.
Gilles, il faut absolument que je te rapporte cette écharpe, joli prétexte pour deviser comme j'aime tant le faire avec toi, et nous trouverons, vite, un moment, c'est des moments qu'on s'ouvre comme de belles parenthèses, des dimanches dans la vie et voilà, tout bientôt, tout bientôt en fonction de...Je t'embrasse bien fort, serre un poing rageur et me mords la lèvre à la gloire de ces crazy rucks. Et fasse que la main de Dieu ou le doigt de quelque chose les garde longtemps sous son aile.
11H18, le 11.11.11. ONZE remet du CRAZY ? ONZE RUCKS... (désolé)
Dis donc Benoît, déjà que je suis fragile en ce moment, si en plus tu me mets la larme à l'oeil...
Oui, vivement le prochain ruck!
Effectivement, très très bien. Douze heure non stop. Que du bonheur. Pour les ballons, je vous trouve gonflés...
Bon allez, c'est pas tout mais faut partir au boulot...
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