vendredi 20 février 2015

La Rose et le Coq

Je ne sais pas s'il y a un parallèle entre l'Assemblée nationale et le XV de France, une évidence qui relie le gouvernement socialiste et le staff de Philippe Saint-André, une association entre la Rose et le Coq, mais la sale manie du moment, c'est quand même de vouloir passer en force. On regrettera que l'équipe de France ne possède qu'un banc assemblé, de poids cela dit, et que l'Assemblée ne puisse pas compter sur un parti pris. Du coup, le score est lourd, lui aussi. 49-3. Franchement, on aimerait bien que ce soit le même, samedi 28 février, au Stade de France, à l'issue de la réception des Rouges, les vrais, les Diables, ceux de Warburton, Davies, Williams et Halfpenny. Vous remarquerez d'ailleurs qu'il y a toujours un Davies et/ou un Williams dans une bonne équipe galloise. Et parfois deux. C'est la bonne mesure. On aimerait surtout que notre coq déplumé soit un peu rosse et que de son côté la Rose prenne une rouste à Dublin. Vous le savez, Irlande-Angleterre, ce sera LE match. Une "finale" comme on les aime, apre, tendue mais aussi sacrément spectaculaire. Sans son maître à jouer Jamie Heaslip dos cassé (merci Pascal) les Irish Fighters seront-ils capables d'arracher un succès ? Rien n'est moins sûr. Et cela nous dirigerait droit vers un Crunch de feu pour la dernière journée. De quoi relancer les ventes de l'ouvrage de la Comme Fou : "Cent ans de guerre ovale". Je compte sur vous, ami(e)s, pour en parler à qui vous voudrez. C'était la petite promo du mois de février, le mois aussi court que les idées bleues.

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