C'est la bonne nouvelle qui m'attendait dans la boîte aux lettres de retour de vacances : raconter la Nouvelle-Aquitaine par le menu, joliment. Décrire cette région majuscule en forme de triangle inversé qui va de la Rochelle à Guéret en descend jusqu'à Biarritz, "inventaire sentimental et patrimonial", comme imprimé sur la couverture. Trois-cent cinquante pages pour évoquer, entre autres thèmes, culture, histoire, sports, gastronomie, nature, économie et littérature. De 56 avant notre ère jusqu'à aujourd'hui.
Ce voyage se déploie sur mes terres en commençant par l'Armagnac pour se terminer avec l'héraldique. Et lorsque M. Le Gall, éditeur et patron d'Atlantica, m'a gentiment demandé de rédiger quelque chose sur le rugby - je soupçonne l'ami VPL d'avoir appuyé ma candidature -, j'étais aussi heureux que son projet m'intègre que flatté d'être ainsi devenu prophète en mon pays. La tâche était ardue et j'ai appris que je n'avais pas été le premier choix. Et pour cause : tous les autres, à savoir deux précédents entraîneurs du XV de France, avaient refusé l'obstacle.
Il faut dire qu'il était de taille : sélectionner un XV idéal ! Ou plutôt une équipe de rêve à partir des internationaux basques, béarnais, landais, Lot-et-garonnais, bordelais, gersois, charentais et corréziens. Vaste défi. Mais une fois posés Blanco, Dauger, Sella, Boniface, Albaladejo, Yachvili, Harinordoquy, Benazzi, Dauga, Paparemborde et Ibanez sur la feuille, restait seulement pour moi à arbitrer entre Moncla, Joinel et Magne, Lagisquet et Bernat-Salles, Dospital et Domenech.
Ecrire m'a permis de reprendre le chemin de l'enfance à rebours, quand je composais des équipes de France ou de clubs. Faire de ma subjectivité un levier n'est plus un exercice acrobatique : j'assume sans rougir depuis longtemps. Enjamber les générations et traverser les époques est même devenu au fil de mes parutions une deuxième nature, et le blanc-seing des vieilles gloires rencontrées au fil de mes reportages journalistiques me procure à la fois joie et confiance.
Cet ouvrage m'a permis de faire équipe avec trois Frédéric de renom, Beigbeder, Schiffter et Mitterrand, et trois fondus de rugby : Alain Gardinier (pape du surf), le dessinateur Jean Harambat et l'essayiste Sébastien Lapaque, avec lequel je partage un impératif catégorique : pas de livre de Jean d'Ormesson dans ma bibliothèque ! Notre ami bloggeur de Comme Fou, Léon Mazzella, est lui aussi de la partie. Quelques érudits, tels Philippe Meyzie, Anne-Marie Cocula-Vaillières et Christian Gensbeitel, complètent cette cordée.
J'ai bien entendu immédiatement dévoré cette somme pour y découvrir Crozant et Canfranc, Michel Ohl et Georges Guingouin, le météorite de Rochechouart et le pont Rouchaud, pour ne citer que quelques unes des cent pépites glissées au fil des chapitres, des curiosités et des éclairages. Je ne sais pas si chacune des dix-sept nouvelles régions de France restantes offre ainsi un inventaire joyeux, ludique, étonnant et festif. Mais celui-là, de guide, m'apparait comme un sommet.
40 commentaires:
C'est quoi un triangle inversé?
André, trace la figure d'un trait qui relie la Rochelle, Guéret et Biarritz...
Roger
Ravi de voir que ta culture déborde de l'Aquitaine! De là à aller en Afrique, le triangle, sous ton compas, ressemble à un rapporteur. Prends garde à tes sinus,les sens même du plaisir olfactif mais pas que .... Quant au médecin, tu le renies sauf quand le doute s'installe et la solitude pèse. Pour en revenir à la noblesse de l'Aquitaine, une partie de mon patrimoine, un XV idéal sans Jacques le Gascon, conte de Fauroux, manque totalement de liant à cette équipe de rêve. Je ne sais si le Ciron a été cité lui qui fût au cœur de l'histoire de France et du Sauternes mais aussi dans le cœur de mon enfance ?
Ami Roger
Toujours la verve, l'effet du causse ou de son ange pastoral! Le bluff n'est pas ma crèmerie restant proche de Platon, Socrate ou Aristote. En cela, l'épicurisme a du bon et j'ai du attendre de lire Montesquieu, Persan s'il en est un le secret des lois et son esprit. Précurseur,à mon sens de la séparation des pouvoirs,il file de La Brède, non loin du Ciron, pour mieux comprendre la société accompagné par son parrain, mendiant. Ce qui fera dire que les pauvres sont ses frères. Je retiendrai des voyages ceci qui te concerne, toi l'homme asservi à la Cau(s)se ceci "Quand on ne cherche pas quelque chose en particulier, des moments authentiques peuvent venir à nous. Il suffit de se décaler des hypercentres vers la périphérie".Maintenant que faut il choisir les 3 Frédérique ou les 3 Glorieuses ? Question de tectonique non !
Roger
N'efface rien à contrario du "monde", le temps s'en charge à ta place, tu le sais. Demande à Marie.
Au fond,
un corps physique, un cerveau pensant, du relationnel, et basta!
Çà suffit.
Zarma
N'efface rien, je te répondrai si je peux ce soir à moins que les fourmis n'aient eu raison de mon emploi du temps. Belle journée
J'attends avec beaucoup d'impatience les commentaires à venir...Ils me permettront, je l'espère, d'y trouver quelques lumières...
Roger,
soi rassuré, l'épreuve du feu et de la poussière ne sont pas pour moi, trop croyant ou pas assez inspiré par la réincarnation sous conditions ! l'apocatastase des fourmis, ma foi je n'y avais pas pensé au pire, je le laisse aux chinois ou aux végans, l'avenir nous le dira ! Probablement que certains tamanoirs du rugby, alchimistes féconds, sont galvanisés de faire de l'or en barre. Pour se brûler les ailes tel un Icare dans un dédale ou les minotaures pullulent tels Bernard et Paul . Effectivement, à quoi bon faire des études pour finir comme une truffe blanche ou noire sans parfum. Rien de pire, que de père en fils et de fils en aiguilles, notre rugby perd son âme pour des empapaoutés qui croient que la réincarnation n'est qu'une filiation ou un orphisme à la sauce Platon. Comme dit plus haut, une vision eschatologique de notre rugby n'est plus une utopie car la tectonique du jeu est devenue animal à laine bien loin de nos gladiateurs à cornes et queue, bien même en se la grattant avec l'oreille, un Paul sans museau ou un Bernard sans dents, n'auront jamais assez de selles et de testo pour combler leurs lacunes universitaires comme le furent leurs prédécesseurs ! Insinuant la corne dans mon propos, je te rappelle que la muleta n'a rien d'un valet ou d'un sou fifre mais rest le rempart infaillible d'une tectonique entre l'homme et l'animal. Effectivement, j'ai trempé les pieds dans le Ciron, au même âge que toi mais j'avais des bottes! Quant aux U 20 feront ils mieux que les Pap's ? Rien de moins sûr à moins d'avoir le feu sacré.
André,
je ne sais si dans mes propos tu trouveras la lumière mais avec Roger, de l'obscurantisme né toujours la lumière à condition d'avoir une bobine de fil et de patience sorte de Thésée ou fil d'Ariane, seul Dédale, pour sortir à hombros !
Roger, soit fun n'efface rien, le feu s'en chargera tout seul telle la canicule actuelle ! je compte sur toi et sur ta paligénésie !
L’Éternel retour, il fallait le dire...
Peut être
Roger
Rien de tel qu'un agneau de ton genre à distiller en croix façon chipirro de Patagonie ! histoire de mâchouiller quelques maux à mots sur l'emplacement de l'hacienda! Pour cela, rien de tel que Zocato qui nous en contera plus que n'importe quel 10 du contenu de la tourbe des sables landais. Bref, phéromones ou pas, la saison des pancartes ne fait que commencer en attendant de lire "A Vendre" ou "Soldes, 2e démarque" à cause du prix du coton qui flambe parce que le fond de pension ne lâche pas la vanne d'eau préférant spéculer sur la soif des imbéciles. Et Dieu sait si les tribunes font le plein ! Pour en finir ce soir, au son de la chouette et des premières figues qui s'esclaffent au sol devant une lune flamboyante, je dirai que Jakobson, dans son schéma puriste du langage a oublié le "Taï Haut" faute de chiens et donc aujourd'hui le rugby n'aboie plus dans les campagnes, la faute aux instits. D'où Bernardo, méthode Sandoval, est venu gratter le ministère ou siège 8C... ou C8 (tout dépend comment on a appris à lire) les soi disant futurs mammouths de La Pléaïde.
L'abbaye de Vézelay? La basilique plus exactement....C'est beau, c'est haut. Lieu de culte, de réflexion, de méditation et, pour les adeptes de jeux de mots et contrepèteries en tout genre, çà ouvre pas mal d'horizons.
Le beau m'a inspiré...Barbara aussi je dois dire...Et je réécoute donc Giani Esposito.."Deux Écoliers"...Terrible, cette chanson que l'on suit du début à la fin de sa vie come une sorte de "Copier/Coller"!
L'association Bernie, Dupontel et sereinement est excellente.
bon allez ! Puisque c’est de salaison à faire la fête façon Jeanne à la masse aux castrés, juste une pointe d’encorned d’beef pour aller avec une rasade tourbée de Maltais … et rappeler au coin du feu sacré ces paroles de Monsieur Jean lui-même s’autorisant à confesse la tête haute, le buste droit, le timbre clair comme au son du cor, & de tout se qu’il respire, les mains vibrantes sans l’appui d’accoudoirs : » Max Rousié était le meilleur « .
Encore un qui a fini carbonisé arbrebouté dans les Landes … en morne plaine ; vouloir la jouer Giscard en ravivant l’omélie du parc d’attraction avec des coffres Lamérat-Fofana portés en libérateurs sur les volcans d’Auvergne, quand ce sont leurs gros qui écrabouillent tout, y’a comme un écran de fumisterie journalistique, non ? Allez on efface tout, un carton de six alors .
https://youtu.be/dP1voM5o2sY
disons juste à tous les égards, tous les Edgard, que si le carton de six pouvait être porté juste en deça des rives d’antan plein de "bon sang" merde d'alors de chez nous, l'inaccessible où ferrailler avec aujourd'hui une équipe, un machin une machine « frappée » du maillot, seule face à de sombres brutes n'a même plus envie de réciter quoi que soit . Parle même pas de parole, de poignée de mains, de contrat, de chaussettes ... de répondant dans l'odeur du vestiaire ou de mettre le short,pour faire mime d'endosser la livrée pour la bataille, l’honneur , le discours, la soirée ou nos filles .
Quand en face il n'y a plus que des sales gueules de cons venus avec leurs tessons tout prêts à servir, sévir comme en tribune avec bientôt, mécène, met en scène, avec speaker inspiré comme à l'ubb & bientôt ailleurs, tout et tous dans la poche , même sur anal où paraît-il, « même les Mémées ont horreur de la castagne » … mais qui avec leur barde (ou barbe, ch’ai plus qui y est la mamie Vedette) l’organise & s’en pourlèche .
Avec l’hôte gonze, faut avoir peur de rien .
Faudrait que quelqu’un dans le camp de notre hollandais volant se dévoue pour le cas Fabius .
Parachuté Président du Conseil Constitutionnel sans le moindre avis médical ; quant à son œuvre ...
https://youtu.be/JvkMnHXtHzc
!! on croirait revoir debout sur sa selle; le froc sur les chevilles, P.Jeantot critiquant en 97 celle revenue vent debout dans les 40èmes ...
https://youtu.be/D03zLk4yMUk
- « ça me me semble bizarre de te surveiller »
- » alors, le fais pas »
https://youtu.be/IABj6-Ifkxs
fin du fichier .
Parfait dans l’aligné, aux hauts émois de Leconte de Lisle succèdent ceux de la couleuvre qui descend prétendument d’un piton ; le piteux à l’humour pleines dents inspiré t’es un fin façon Sabatier nous vantant un engagisme bon enfant qui sait cependant reconnaître « la faillite de la race » quand l’intérêt fait vivre de son capital ; on croirait du Raymond obligé de monter la Barre en capitale, des Gaules d’abord, de tous les Gaulois qui n’y comprennent rien ensuite .
Et les autres orvais genre pendu à Foucault ou d’la rue qui font leur nid sous la pierre .
À propos, Cath Kinztler,
« Dialectique civilisée du contact et de l’évitement : il n’y a pas d’enfer
Comme chacun sait, le rugby met les corps en rude contact. Encore une comparaison, inévitable et qui se veut désobligeante, avec le foot. Mais alors que le foot se laisse aller parfois à un contact sournois et transgressif (car interdit) entre les joueurs (je passe sous silence les papouilles dès qu’un but est marqué), le rugby est une véritable culture du contact : il ne s’y laisse pas aller, mais il l’affiche, le permet, le civilise, le requiert. Nouveau paradoxe : de ce qui est ailleurs interdit, il propose un traitement différencié ; on découvre alors que l’interdit total du contact laisse celui-ci dans son état sauvage, et relève d’une conception simpliste de la culture prenant le risque d’un violent retour du refoulé. Au contraire, en réprimant et en canalisant cette violence sans l’exclure, le rugby montre qu’il a tout compris de la civilisation.
Parfois spectaculaire, le contact avec le corps de l’adversaire est admis, et même obligé dans les regroupements, les plaquages, les « percussions ». Aucun des autres sports collectifs ne le requiert, à plus forte raison ne peut-on y voir une pluralité des pratiques du contact. Ici, il s’effectue selon des lignes de force et de mouvement variées : pousser, tirer à soi, saisir le bassin de l’adversaire (et non ses épaules ou sa tête) pour le plaquer, anticiper l’élan adverse en même temps qu’on le percute.
Y réfléchir à deux fois aussi : cela affecte la notion d’évitement. Au rugby, l’évitement n’a pas pour objet l’interdiction de toucher l’adversaire, mais il est au contraire nourri de la possibilité de le faire. On n’évite pas l’autre parce que c’est interdit, on le fait parce que c’est un choix de jeu, parce que c’est l’occasion d’un leurre. L’évitement et le contact sont symétriques et non opposés.
Ne pas oublier non plus le contact avec le corps du partenaire : enlacement scapulaire des premières lignes et imbrications épaules-fesses, bras-cuisses pour former la mêlée, poussée verticale pour la prise de balle à la touche, empilement des corps pour « soutenir » le joueur à terre qui lâche la balle. Ce compagnonnage charnel ordinaire rend les étreintes, effusions et autres « papouilles » moins nécessaires, moins appuyées, moins gênantes et moins infantilisantes pour le spectateur quand elles se produisent dans la jubilation d’un point marqué.
Tous ces contacts apparemment désordonnés et débridés sont en réalité disciplinés, parce que permis. Contrairement aux apparences, le rugby fait dans la nuance. Il connaît autre chose que le « tout interdit » pendant le match et le « tout permis » hors match. Nuance du permis-mais-pas-tout, canalisation, exercice et reconnaissance de la force, fabrique de jeux de mains mais pas de vilains. Contacts pensés parce que avoués et non forclos, visibles et non relégués dans un infra-monde d’où ils ne peuvent que resurgir comme d’un enfer. Il n’y a pas d’enfer au rugby parce que les forces infernales sont présentes : humanisées ici et maintenant. «
Bon, c’était juste des propos de gonzesse . Mais qui semble-t-il ignorait les destins de Laporte, Goze & bien sûr Bolloré . Et Lapasset, juste by-passé .
Il y a les codes exprimés et ceux "non-dits".
Les premiers s’appellent les lois, les règles et les seconds participent de l'homme civilisé. Mais civilisé ne veut rien dire en soi. A chaque civilisation son terrain commun de conventions apparemment évidentes. C'est là que le bas blesse.
C'est, au fond, la théorie du maître et de l'esclave en archétype, de l'offre et la demande en application bien concrète.
Ainsi, les maîtres britanniques ont importés leurs us et coutumes dans toutes leurs colonies, leur Commonwealth...
Et, de fil en aiguille, par le retrait des premiers d'une part, par l'ouverture de plus en plus grande jusqu'au professionnalisme d'autre part, les nouveaux participants, armés de leurs propres cultures ont remplacés par leur sang celui des originaux devenu jus de navet. Le cheval était dans la place et ni vu ni connu.
L'entre soi bien maîtrisé, bien contrôlé, ayant basculé et donnant de la gîte, le bateau n'est plus mené par les anciens capitaines, mais bien par ceux à qui l'on avait laissé les rênes et qui, de fait, ayant introduit leur savoir faire, possèdent aujourd'hui les savoirs et les pouvoirs les plus conséquents.
Par ailleurs, il est toujours surprenant de s'adresser à Émile Ajar, en pensant à Romain Gary...
! d’où l’intérêt d’avoir présent à l’esprit un Guide de rêve … Néanmoins une version remastérisée de « la métamorphose des cloportes » pourrait séduire .
Mais quand c’est Bernie qui vante la passe sur l’impair & manque façon croupier all’on z’enfants, ne faites pas de vilaines choses comme au soutien, heu, juste le souteneur & parions toujours .
Au moins sur l’avenir, qui ne coûte pas cher, aux générations inconscientes caressées dans le sens du poil par les politiques du scalp sur l’autel du tout pèze à la manœuvre .
Et que dire de ceux qui manient un z’humour sans conne notation, si Savea s’était marié avec une pure Marie-Madelaine aux couleurs de la Marine pour ne rien saborder en rade, & continuer dans la collaboration & l’aide des milices à aider à marcher sur l’eau pour se gaver proprement comme tous les vtais entrepreneurs de l’époque sur les chemins de la liberté légèrement mont ou fanfaronné de brigades légèrement plus de noir nuancées que de rouge ?
À-priori, la relève qui connaît des noms est passée de Clairfontaine à Marcoussis monter la garde .
Maintenant, des Umaga, des Wilkinson, des Giteau, des Botha ne passeront plus ; Fatima va devoir peut-être même apprendre à raser les murs, voire porter ostensiblement le voile pour ne pas finir lapider sous l’hégire de certains frères journaleux pas très cathodiques ...
On ira désormais voir « la métamorphoses des colportes », haute en couleur . Avec des dialogues pas forumeux, non !, mais juste pour buzzer avec n’importe quoi, n’importe comment avec assurance la rente des 150 coms ...
https://youtu.be/G-4X84USxF8
Tiens, le Guide a rabattu les cartes & modifié la Donna dans son expression revue plus châtiée à y penser qu'elle ne le méritait ; comme quoi tout n'est qu'histoire ou géographie de relief ... enfin quoi, de digestion, de cigare ...
de volutes comme de volapük .
et peut-être plus à manifester radicalement son intransigeance que d'afficher en bobo ses nuits debout ?
https://youtu.be/RnUnQwU2biQ
Durant mes exercices chez le kiné, deux choses me sont apparues évidentes.
1- J'ai du mal avec ce terme "Anonyme", bien qu'il puisse être un choix délibéré comme Ulysse se faisant appeler "Personne" par le Cyclope. Et bien, qu'au fond, même si les noms choisis, "Zarma" par exemple, ne m'apportent pas plus de connaissance que les autres.
2- Il est amusant de parler par ellipses, c'est sûr, un temps en tout cas. Mais, au bout d'un moment, les circonvolutions alambiquées peuvent devenir vaseuses et incompréhensibles, d'autant plus qu'il est évident -sans le souligner nettement- que ces discours ne sont pas directs mais puisent également dans l'autre site de Richard "Côté Ouvert".
Je suis un peu las de tous ces ponts non dévoilés et de ces énigmes qui ont, je pense, fait leur temps.
... André sagace ?
J'apprends que les kinés, quelque part des magiciens de la manipulation peuvent aussi beaucoup pour soulager les bloqués du bulbe .
https://youtu.be/VM_XDjBPfAY
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