Juillet, c'est fermé. Comme Fou a pris la route du sud. Plein soleil. Et se retrouve sur le sable. Jamon, cerveza et siesta. Seul le Tour de France est parvenu à me sortir de la torpeur estivale grâce à Romain Bardet, dont je n'avais pas fait mon favori, cependant.
Franchement, pour le reste, entre attentats, fusillades, incendies, sondages, attaques, plaintes et j'en passe, j'ai comme la désagréable l'impression - vu de la plage agréablement déserte - que l'été ne change vraiment rien à notre lent déclin sociétal.
Actons-le, nous nous retrouverons pour une nouvelle chronique mi-août. A mon retour. J'espère que nous aurons des élans positifs à partager sans retenue, des projets aussi, des envies, et toujours au bon rebond de l'amitié. Sans doute aussi un Crazy Ruck à la rentrée. Serons-nous assez nombreux pour cela ? Il y a si longtemps...
8 commentaires:
L'âme vogue trop de traviole
Parfois en vélo, risquant l'embardée
Explosion, implosion, flamme et viols
Destins mals Fort Boyardés...
L'été n'est pas si sage
De ses pernicieux acoquinages
L'heure est à la poésie, malgré tout, donc. L'art rime. Avec changement de paradigme.
Tous à (dans) la rue ? C'est un programme.
Excellent, Zarma. Mais quitte à descendre, autant sortir aussi les poubelles...
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