Qu'un prince de l'attaque comme Didier Codorniou se présente au soutien d'un podagre du Languedoc me hérisse, et c'est un euphémisme. Falstaff claudiquant, odieux blablateur, sorte de le Pen de gauche, George Frêche ose tout et c'est à ça qu'on le reconnaît. Moi, je ne le reconnaîs pas socialiste. Au mieux populiste. Et que Codor se retrouve hors-jeu, j'avoue que ça me coupe la chique... Agrégé de droit romain, Frêche ? Diplômé de la Roche Tarpéienne, plutôt. C'est un peu comme si Shane Williams soutenait Blair, tenez... Didier, pourquoi est-ce que tu es venu t'intercaller là-dedans ?
19 commentaires:
Désapointé par cette nouvelle!Et par cette basse campagne qui comme Didier n'est pas à hauteur!Codorniou perd de sa superbe,par ce soutien à ce pillier de bar et tribun populaire aux idées pas Frêche(s) et nauséabondes.Pas envie de galéger en écoutant ce pauvre type à l'âme de fond de "je" sclérosée...Juste la colère qui monte et qui donne envie d'envoyer deux,trois chandelles pour éclairer les esprits encore sains qui se laisseraient trop vite envahir par cette funeste mélodie en sous-sol.Amis restons ferme et vigilant "Le temps qu'il reste"...
Codorniou n'est pas seul, toute une région ou presque est un soutient à Frèche...
Inutile de le stigmatiser !
D'abord j'écris ce que je veux sur mon blog ; ensuite Didier, que je connais bien, était un archange de l'élégance, de la distinction, tout ce que n'est pas ce gros c.. de Frêche, et je me demande pourquoi il cautionne un type qui traite les Harkis de demi-hommes... Quant à ce qu'un région soit au soutien de ce roitelet, il y a bien tout un pays qui a voté pour un président minuscule et ce n'est pas pour ça que je suis d'accord avec la majorité...
Pire Ritchie, il a dit "sous hommes"!
Côté vocabulaire, le monumental et le
minuscule se valent bien, parfait reflet de leur pensée...
Pour en revenir au rugby, nul doute que Frèche se satisfasse de cette troisième journée du Tournoi qui offre
une "tronche parfaitement catholique"
(France, Italie, Irlande)...
Mouais, Frèche comparé à Le Pen...
On peut toujours écrire ce que l'on veut...
Il n'a jamais insulté LES harkis, mais deux types qui roulaient pour la droite locale au nom des harkis...
Quand on veut noyer son chien, on l'accuse de la rage...
Une campagne avec des idés pas “frêche“, oû on fouille le passé des gens comme on ferait les poubelles...pas terrible. Et des petits princes de l'ovale qui déçoivent sur des terrains autrement boueux. Rien de neuf sous le soleil.
Le Pen - Frèche, même combat du populisme, du rejet des autres, du "bon mot gros mot", des abus. Deux égos surdimmensionnés, deux hommes qui sortent des appareils et qui cherchent à ridiculiser le monde politique autour d'eux et hors d'eux pour mieux exister, deux élusqui ne représentent aucun courant que le leur, qui savent mettre les rieurs de leur côté, qui n'incarnent que leur gloire. oui, je confirme, persiste et signe, Frèche sur le fond et la forme ne vaut pas mieux que Le Pen, pourtant élu au deuxième tour d'une présidentielle, excusez du peu. C'est d'ailleurs en ça que Le Pen est un peu au-dessus de Frèche dans mon gotha des gros cons, parce que lui, il est nuisible à l'échelle nationale.
Koukou, koiki a? A pu personne? Blog
muet?
Faut croire que le sujet Codorniou-Freche n'inspire pas grand monde... alors qu'il y a tellement à dire... A quinze jours des Régionales, bordel, le côté gauche de la mêlée semble plus solide que le droit.
Et on voit des piliers qui jouent des deux côtés alors ?
à cet instant précis, je savoure un panorama de grande quiétude sur le Mont Blanc, donc peu enclin à renvoyer la balle...
Dans le même état d'esprit, je me souviens d'un superbe repas de poissons à Gruissan et d'une nuit à la belle étoile dans la Clape avec ma douce... (c'était ma minute Codorniou...)
On en a tous des minutes Codorniou. Moi, je me souviens d'une omelette aux cepes. il était parti le matin à la cueillette. Et le soir, on se régalait.
Plutôt neutre l'article du jour de l'Equipe sur le petit prince...
Normal. On ne peut rien faire pencher, en politique, dans un journal de sport. Neutralité.
Je comprends tout à fait. C'est peut-être une idée, un journal sportif “engagé“ ?
Je comprends tout à fait. C'est peut-être une idée, un journal sportif “engagé“, sortant de la neutralité qui caractérise habituellement ce type de publication. Aprés tout, le sport est aussi “dans la cité“.
Oui Antoine, mais alors il faudrait au moins deux quotidiens sportifs pour que ça tienne debout, non ? C'est comment chez les italiens ? est-ce qu'il y a des journaux de foot de gauche et des journaux de foot de gauche, ou bien c'est que des berluscons ?
Hi ! le lapsus ! pour moi y'a la gauche et la gauche, comme mes pieds quand je jouais au foot...
Ca me rappelle la blague qui courait quand je travaillais pour RMC au service variétés, si si c'est vrai : à Untel qui disait "je suis un chanteur engagé", on répondait : "engangé chez Barclay!"
en fait, y'a plein de journalistes de gauche dans des journaux qui apprtiennent à des gens de droite. C'est plutôt bien foutu, non ?
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