C'est à votre tour, maintenant, d'aller voir "Le Fils à Jo". Et de revenir donner votre avis. Ca va pas plaire aux critiques, mais ça risque de cartonner en salle. Genre les Chti's à Gaillac... Perso, ça m'a fait tout drôle de voir mon pote La Guille en train d'essuyer quelques larmes devant six cents personnes, standing ovation, à la fin de son premier long métrage. C'était sur les Champs-Elysées, là où vingt et un ans plus tôt le petit jour se levait sur une troupe de noctambules, Rousset, Lafond, Serrière, Blanc, Tachdjian, tenant le bouclier de Brennus en titubant, riant, chantant. La Guille était là, lui aussi. Ailier champion de France. "Le fils à Jo", je ne sais pas si c'est du cinéma ou si c'est un film mais pour sûr j'ai essuyé quelques larmes, j'ai ri aussi. Moscato en Bourvil du Tarn, Lanvin en Jo Maso du pauvre, Olivier Marchal rabelaisien... Allez voir ça, ça vaut le coup. Surtout si vous avez des enfants. Et accessoirement si vous aimez le rugby, le terroir, la fête, l'amour et les Maoris. La vie, quoi !
62 commentaires:
Suis d'accord! J'ai beaucoup rit!
Et un peu pleuré. De rire. Mais pas seulement.
Mouais...Pas vu. Pas ri. Pas trop envie de. Mais j'ai beaucoup d'affection pour Mr Guillard. Oui. Beaucoup. Son livre à la Table ronde. Vachement bien c'était. Vachement bien. Je vais rester là-dessus. Ses papiers dans Drop et Libé aussi. Le cinéma, bon voilà quoi...Je lui souhaite tout de même de faire tout plein d'entrées. J'ai beaucoup d'affection pour ce type. Après hein...
M'en vais certainement le voir ce soir.
Je vous direz après...
L'anonyme n'est que moi!
Désolé...
Et bien moi je vais le revoir en famille, avec mes trois filles, parce que y'a un peu de nous tous, parents, dans Lanvin.
"J'irai" bien sûr!
Re désolé...
Et puis je n'irai pas ce soir, car ma tendre épouse vient de me faire remarquer qu'il ne sort à grenoble que mercredi prochain.
Entre l'hortographe et les dates, je commence à croire que je suis vraiment un garçon lunaire...
Et moi je vais y aller deux fois. Mercredi, avec mon Père et mes trois filles...
Y parait que ça ne désemplit pas à La Rochelle...
Comme pierrot, je pensais le voir cet après-midi avec mon, fils (qui vient de filer avec son équipe de Massif Central pour aller foutre une tannée à Sarcelles) et bam! Ca sort mercredi... Pourtant, j'étais remonté comme un petit vélo, après avoir écouté Olivier Marchal en parler hier soir, avec la très ravissante Karina Lombard (chez Ruquier). Patience, banc de touche et dimanche après-midi... Oui, benoît, le bouquin de Guillard paru à La Table (bruits de couloirs) est top!
Pas lu le livre, pas vu le film, mais
suis d'accord avec Léon pour ce qui concerne Karina Lombard. Dans "Légende
d'automne", elle était pureté et incandescence mêlées. Bouleversante!
Comment ça, bande de Comme Fou, z'avez pas tous (je dis bien tous) lu "Petits bruits de couloirs"... Putaing, direct chez votre libraire, les copains... C'est pas possible ça. Juste pour deux histoires : celle de l'ailier quir écupère le ballon et se casse ; celle de l'ouvreur qui a le ballon de la montée en division supérieur au bout du pied... juste ça, sans parler du reste.
La Guille, c'est notre poète et son film et comme son livre...
On pleure, on rit. Que demander de plus ? Et en plus, c'est un ami, alors...
"Petits bruits de couloirs"
Une merveille!
Tas des mecs, comme ça, qui sont touchés par la grâce.
Il n'était pas rapide ni vif ni costaud ni rien de spécial, mais il est de l'aventure du ShowBiz parce que c'est lui le poète de la bande et il devient champion de France en 1990. Normalement, il aurait pas du jouer mais Jean-Ba lui laisse sa place à la mi-temps. la classe...
Il écrit un livre. "Dis c'est quoi l'amour" et ça lui ouvre les portes de la Table Ronde, dans le sillage de Lalanne et consorts. Résultats : "Petits bruits de couloirs". Prix de la Littérature sportive. Pim, pam...
Il entre à Canal et lance "le petit journal". La musique le Lalo Schiffrin est encore dans tous les vestiaires... Et le style décalé n'a pas été copié depuis. unique, le truc, unique.
Il se lance dans le scenario et les dialogue et hop, il devient millionnaire avec la saga Camping (que je ne suis pas allé voir. Quand même, on ne peut pas tout avaler par amitié)
Et maintenant le long métrage, réalisateur, et hop, il fait rire et pleurer tout le monde. Du cinoche populaire. Qui fait du bien.
La Guille, il est touché par la grâce, j'vous dis. Alors que nous, pôvres mortels, on tape dans la butte... et on ramène des pierres !
du film, de Guillard surtout, ça en causait ce matin de douze à treize sur Europe 1 (le bistrot du dimanche de Petitrenaud) avec Brana, (chez) Etchebest, Ospital, ma pomme par téléphone (ces cons-là me croyaient dans la montagne basque, sinon j'aurais été de la plancha), du film et tout ça, et c'est (donc) Oteniente qui en causait, ou qui en rendait hommage, sincère l'hommage, cependant, si si.
Guillard est devenu millionnaire en faisant du camping ???
Merdalor ...
Il était dans l'attente...
Richard,
Je viens de lire ton édito suite à ton commentaire sur mon blog. Bigre !
Je plaide non coupable devant ce qui, malheureusement pour Bourgoin, sonne comme un constat d'évidence.
Il y a aussi l'histoire du compte rendu de match, joué sous la pluie, dans la boue, par un vent du nord. En bref, l'ancienne...
Si le match est gagné 9-6, le compte-rendu encense le pilier qui fait honneur à sa confrérie par son courage dans le travail de l'ombre, et à qui on pardonne un en-avant après un départ de demi-de-mêlée, hardi, certes, mais anecdotique tant son oeuvre fut louable et contribua au succès des siens.
Autre version : même match, mêmes conditions, mais le club perd 9-6. Le pilier est épinglé pour avoir sombré en mêlée et n'être finalement bon que que pour courir de regroupement en regroupement. On ne comprend alors pas quelle mouche l'a piqué pour, qu'en prime il se soit fendu d'une envie soudaine de voler tel un trois-quart, pour en prime Commettre un en-avant qui a redonné le dernier ballon l'adversaire. Un match à oublier....
J'ai du en rajouter ou en oublier, mais je crois que l'esprit de la nouvelle est là.
Re,
Déjà, s'il vous plaît, pardonnez-moi les fautes sur le précédent commentaire...
Ensuite un mot sur Bourgoin.
Dans le passé, pour atteindre et se maintenir dans l'élite, le club n'a-t-il pas bénéficié de la faillite ou de la faiblesse d'autres clubs du coin (peut-on dire historiques ?) comme Romans, Valence, La Voulte, Oyonnax, Bourg-en-Bresse, attirant ainsi les meilleurs éléments de la région voire plus.
Finalement, le club serait repris un professionnalisme (marron à l'époque) qui lui avait peut-être réussi dans le temps, mais qui le dépasse désormais...
Bon sang ! J'ai un quart d'heure de retard.
Non, non Matthieu, tu es tout à fait à l'heure... Et tellement dans le vrai. On meurt toujours pas où on a péché...
Après, Antoine, je t'embauche quand tu veux, hein, pour sous-traiter mes éditos...
Tenez, au fait, pour ceux qui peuvent, allez donc jeter un oeil sur le texte de Benoit sur David. Whaouuu...
Et au fait, si quelqu'un a des nouvelles du Tigre, avant le Super Bowl, et de Séb qui a l'air de ne plus avoir d'ordi, n'hésitez pas. Sont où, les vaillants de la Comme Fou ? Et WineRab ? Et Rosa ?
Faisons simple : ce type là, ("La Guille") et tous ses camarades du Racingue, je leur dois l'envie (tardive... 1986... 20 ans...) d'aller manger de la pelouse en short sous la pluie avec 14 autres camarades...
Je serai mercredi avec quelques amis au cinéma... on en reparle après !
La bande-annonce vue hier m'a un peu chauffé... toutes ces images du Tarn alors que j'étais déjà un peu agacé d'une correspondance Audoise la veille qui me rappelait le Massif de la Clape et l'étang de Sigean... je me demandais bien ce matin sur mon scooter ce que je fichais dans cette banlieue parisienne... Heureusement que Benoit a relancé l'affaire avec son David Jones ! (si on peut plus commenter chez Rugbymane, on peut toujours aller le titiller sur Facebook...)
Ah, FaceBook... C'est sans moi... Marre de perdre mon temps avec des posts minables qui n'ont aucun sens, des phrases pourries envoyées par des nauséeux qui n'ont rien à dire... FaceBook... Rage !
Mais il me semble l'avoir déjà dit ici. N'en parlons plus. Parlons du fils à Jo...
Pas d'hier,mais depuis le début de l'année,je n'ai pas eu le temps de respirer en votre compagnie,désolé.Je profite donc de cette transmission rapide pour réserver ma place et ma Budweiser pour une nuit Texanne le 6 Février entre cowboys!Sinon,à pleins poumons,je viens vous déclamer à mon tour une infinie tendresse pour La Guille et pour son très joli film,sans prétention,empli d'émotion et d'Ovalie.Cette histoire bien contée fait du bien!En somme tout le contraire du vide sidéral bobo et artificiel de "Somewhere"...
Oh, Seb, faut que t'ailles sur le blog de Fred. Il te rend hommage... La classe... Il parle même de Toby Flood pour remplacer "Jonny s'en va t'en guerre". Eh oui, mois aussi j'y arrive. Parfois, seulement...
Putaing, j'ai hate de lire vos commentaires, d'échanger, de m'enflammer, de m'emporter... Vivement mercredi... Personne n'est allé le voir en province, Redondo ? Cds ? Personne ?
Je sens poindre une certaine impatience ;-)
Tiens, je suis tombé sur ce joli reportage pendant le tournage : j'ai l'impression que les sentiments de G.Lanvin et d'O.Marchal à l'égard de "La Guille" dépassent l'habituel discours promotionnel...
J'y apprends aussi que PG est sans doute le seul réalisateur ciné au monde à tourner un ballon à la main...
http://www.youtube.com/watch?v=fWoEPep9kkE
PS : tentative de lien cliquable avec l'url que je viens de laisser...
Un soir sur le tournage du Fils à Jo (YouTube)
Winrab est là ! Winrab lit tout ! Et Winrab l'a déjà dit au maître des lieux .....
Film au programme aussi de notre côté, faut juste trouver le temps !
Merci Fred pour ce lien, je me suis régalé...
Et avec Moscato, t'es jamais déçu...
Tu me diras, donc, pour le film...
Mais on apprécie l'avis de Winrab ici à la Comme Fou...
Faudra d'ailleurs qu'elle participe à un Crazy Ruck un de ces jeudi...
Winrab va ajouter une pierre à l'édifice : Petits bruits de couloir commandé à l'instant à son libraire habituel ....
Promis, Winrab donnera son avis, quand elle aura vu le film et lu ce livre (re)commandé !
C'est Zinzan qui reçoit la calbote ?
Qu'est-ce à dire ? Zinzan ? Calbote ? No comprendo ?
Ola!
Le lien de Fred présente le tournage d'une scène avec Lanvin et Marchal, et un gars, brun, à la droite de Lanvin, couché sur la table, ivre. Ce serait un néo-zélandais dans l'histoire.
Pour guider Lanvin, PG lui montre Comment mettre une petite claque derrière la tête (j'appelle ça une calbote).
Ce néo-z, me semble-t-il, ressemble à Zinzan Brooke...
...
Je viens de revoir la vidéo et crois m'être trompé. Si cela avait été le cas je l'aurais su.
Dslé.
Oui, oui. Sorry. Capich. Il s'agit de Darren Adams, ancien troisième ligne du Racing. J'ai effectué le premier reportage sur lui pour L'Equipe en 1988. On l'avait fait venir sur les Champs-Elysées avec une hache (il est bucheron et maori) pour le photographier. Et pendant qu'il traversait l'avenue, il y a une vieille dame en manteau de fourrure qui a hurlé en pensant qu'il allait la dépouiller. Nous étions tous morts de rire, lui aussi. Darren, c'est un mec génial. Normalement, d'après ce que la Guilla m'a dit, c'est Lomu qui devait tenir le rôle, mais ça n'a pas pas pu se faire au dernier moment et c'est Darren qui a hérité du rôle... Et il s'en sort vachement bien...
Darren Adams qui a aussi joué à Grenoble. Il était de l'équipe demi-finaliste en 99 il me semble... Je l'avais moi aussi reconnu reconnu sur la vidéo.
Bien joué, Christian...
Bon, pas vu (pas encore) mais déjà des critiques. Pas très positives, comme on pouvait le craindre. Ainsi le Monde qui écrit "le navet d'ovalie". Le pire est dans le ton navré que prend le critique vis-à-vis du travail de Philippe Guillard...
Je viens de récupérer mes filles. Elles se sont poilées. Elles ont compris ce qu'était l'esprit rugby, alors que je leur en parle depuis des années sans jamais les atteindre, ni les toucher. Et maintenant je me méfie parce que je vais me faire pièger avec l'histoire de "mon cul!"
On compte ?
J'ai ri (parfois seul). Je nous ai reconnus. La patron de la société de car : c'est fort.
Après suis bon public, et sais que ce type de film ne fait pas l'unanimité. Trop léger, caricatural, manque de profondeur ou que sais-je diront d'autres. Mais il transpire de la tendresse, de l'amitié (bon public je suis on vous dit), et je crois que ça ressemble à ce mec, PG, au rugby, à l'esprit qui nous a tous traversé plus ou moins, rugby ou pas d'ailleurs. Je ne vois pas à la malhonnêteté derrière, comme s'il s'agissait d'un film de commande ou parfois d'une suite.
Voilou.
Ah oui ! Ce week-end, vais à Toulon ! Enfin le pilou-pilou...
T'as raison, Matthieur, c'est nous ce film. Je me vois en Lanvin voulant inculquer le piano à mes filles. en vain. sauf avec la dernière. elles préférent la danse, le théatre, l'équitation, la guitare...
Le Monde vient de défoncer "le fils à Jo". On s'en fout. C'est du cinoche populaire. A partir du moment où je chiale et ou je me marre, c'est bon pour moi.
Toulon-Munster, ça va être monstrueux... s'ils arrivent à se taire sur les buts adverses, les supporteurs du RCT entreront dans la légende...
Tu nous diras comme c'est au milieu des fadas...
Matthieu. D'accord. Et qui d'autre?
J'y étais hier soir... je raconte rapidement sans non plus redire ce que vous avez chacun déjà dit...
warning : (petit) spoiler..
Scène d'ouverture : Gérard Lanvin en voix off qui plante l'historique de la famille Canavaro pendant que la caméra se balade sur les murs du club-house où sont encadrés les vielles photos sépia, les "unes" du Miroir du Sport, du Sporting... pour ceux qui me connaissent, je suis gâté, donc emmporté ! le plan se termine sur une photo du grand-père Canavaro (pas reconnu qui est sur la photo ??) juste à côté de cette vieille photo de Marcel Burgun centre international mort à la guerre. Du Racing Club de France évidemment... (Monsieur "La Guille" : s'il te faut un consultant historique pour "Le Fils à Jo, retour vers le futur III" tu peux demander mon numéro à Ritchie)
Scène de clôture : pizzeria sympa avec quelques amis pas vus souvent ces derniers temps. On a tous apprécié le film, et on a grand plaisir à se rappeler nos histoires de jeunesse, de Sud-Ouest ou de paternité...
Alors oui, le synopsis du film tient en un paragraphe; oui, le scénario est d'une platitude, d'un convenu et d'une linéarité rare; oui, il y a des histoires du film qui ne convainquent pas quand elle sont pas simplement invraisemblables (l'histoire d'amour avec Karina Lombard - je la découvre, je suis amoureux!! -, la rivalité de Lanvin avec son antagoniste président de l'équipe adverse, ces méchants entrepreneurs anglais qui veulent détruire le stade...); oui, la musique est parfois indigeste comme un gâteau crème à l'ersatz de beurre de chez Lidl...
ça n'empêche pas le film de tenir un bon rythme où l'on se s'ennuie jamais, de rire et de sourire presque tout du long et surtout d'apprécier une superbe galerie de tronches, des seconds rôles qui valent mieux que les premiers... : Olivier Marchal se révèle un grand acteur de comédie (et heureusement qu'il est là pour faire avancer l'histoire, because s'il fallait compter sur le personnage de Lanvin on y serait encore...), Vincent Moscato qui nous fait un "gentil" qui fait mouche dès qu'il est à l'écran (et c'est souvent...)(et je repense à la tronche des Bèglais 90-91... mazette, quel parcours!), Le Boulon impayable chef de fanfare...
Je retiens de ce film, comme tout le monde ici, une grande bordée d'ondes positives
Ben oui, ce film est taillé pour des gens comme toi, comme moi, comme (nombre de) tes amis, comme (nombre de)mes amis parce que ce film donne un fort pouvoir d'identification aux personnages, parce qu'il nous parle comme père, comme fils, comme joueur de rugby, etc, etc...
Allez, je retourne travailler !!
J'y étais hier soir... je raconte rapidement sans non plus redire ce que vous avez chacun déjà dit...
warning : (petit) spoiler..
Scène d'ouverture : Gérard Lanvin en voix off qui plante l'historique de la famille Canavaro pendant que la caméra se balade sur les murs du club-house où sont encadrés les vielles photos sépia, les "unes" du Miroir du Sport, du Sporting... pour ceux qui me connaissent, je suis gâté, donc emmporté ! le plan se termine sur une photo du grand-père Canavaro (pas reconnu qui est sur la photo ??) juste à côté de cette vieille photo de Marcel Burgun centre international mort à la guerre. Du Racing Club de France évidemment... (Monsieur "La Guille" : s'il te faut un consultant historique pour "Le Fils à Jo, retour vers le futur III" tu peux demander mon numéro à Ritchie)
Scène de clôture : pizzeria sympa avec quelques amis pas vus souvent ces derniers temps. On a tous apprécié le film, et on a grand plaisir à se rappeler nos histoires de jeunesse, de Sud-Ouest ou de paternité...
Alors oui, le synopsis du film tient en un paragraphe; oui, le scénario est d'une platitude, d'un convenu et d'une linéarité rare; oui, il y a des histoires du film qui ne convainquent pas quand elle sont pas simplement invraisemblables (l'histoire d'amour avec Karina Lombard - je la découvre, je suis amoureux!! -, la rivalité de Lanvin avec son antagoniste président de l'équipe adverse, ces méchants entrepreneurs anglais qui veulent détruire le stade...); oui, la musique est parfois indigeste comme un gâteau crème à l'ersatz de beurre de chez Lidl...
ça n'empêche pas le film de tenir un bon rythme où l'on se s'ennuie jamais, de rire et de sourire presque tout du long et surtout d'apprécier une superbe galerie de tronches, des seconds rôles qui valent mieux que les premiers... : Olivier Marchal se révèle un grand acteur de comédie (et heureusement qu'il est là pour faire avancer l'histoire, because s'il fallait compter sur le personnage de Lanvin on y serait encore...), Vincent Moscato qui nous fait un "gentil" qui fait mouche dès qu'il est à l'écran (et c'est souvent...)(et je repense à la tronche des Bèglais 90-91... mazette, quel parcours!), Le Boulon impayable chef de fanfare...
Je retiens de ce film, comme tout le monde ici, une grande bordée d'ondes positives
Ben oui, ce film est taillé pour des gens comme toi, comme moi, comme (nombre de) tes amis, comme (nombre de)mes amis parce que ce film donne un fort pouvoir d'identification aux personnages, parce qu'il nous parle comme père, comme fils, comme joueur de rugby, etc, etc...
Allez, je retourne travailler !!
POST SCRIPTUM : j'en appelle à vos connaissances pour écrire un petit billet sur le film.
Pour rester dans le sujet de mon "rugby-pioneers", je recherche un des "tandems" père-fils qui auraient été tous internationaux avant 1940.
Je n'en vois pas en France. J'ai repéré Georges et William Travers, deux méchants talonneurs Gallois dont le père était de la victoire historique contre les Blacks à Cardiff en 1905...
D'autres idées ?
(y a forcément des boks !)
Oh putaing, con, au petit déj'. T'es pas malade, toi, le Fred ? (Bon je sais petit déj' à 11h du mat', ça fait pas sérieux mais je suis en vacances et la grasse mat' en vacances, ça compte...)
Comme ça là, j'ai le souvenir d''Australiens. du coté de Coogee. Club : Galoping Greens. Howard. Le grand père (qui porte pas se nom là), le fils et le petit fils, Pat Howard (Leicester, etc...)
Après, en France la meilleure filiation ce sont les Bidart-Elissalde. Bidart en 50, JPE et JBE ensuite...
Allez, bon match...
Et la famille Le Bourhis, c'est des merlans ???
Y'en a qu'un d'international... chez les Le Bourhis. Et on parle pas des Palito, Lescalmel, Adole and co...
Bon, alors, les copains, qui ka été voir "le fils à jo?"
René Le Bourhis fut international
Maxime l'est déjà en espoirs
le p'tit cousin est sélectionnable aussi...
Et j'en oublie...
Heu... Maxime est international en Universitaire !
Mais il manque le père, qui fut pourtant excellent avec Cognac et La Rochelle.
Hey, Vinosse, as-tu été voir le film de La Guille ?
Merci Messieurs pour les suggestions Rochelaises et d'ailleurs !
Je n'ai point trouvé la lignée Howard du côté de Randwick/Coogee (ils ont "fait" trop d'internationaux la-bas...). J'envoie à mot à Sydney...
Je crains que les éminents joueurs dont vous me donnez les noms ne soient un peu jeunes : il me faut une lignée dont le fils ait été international AVANT la guerre ;-)
Sinon, alors, ce film ? fermeture des bans, ou sortie du week-end ?
On attend, on attend... De savoir ce que la Comme Fou en pense... De ce fils à Jo. Suis pas Maso, non plus.
Frédéric,
je t'avais mis sur une mauvaise piste mais avec le bon cheval
Cyril Towers
Jake Howard
Pat Howard
Voilà la filiation... A toi de jouer
PS: Cyril Towers est le premier grand penseur du rugby autralien. Une personnalité à la Jean Prat...
T'as trouvé, Fred ?
Oui, M'sieur... je suis en train d'écrire mon petit mot sur le blog ;-)
mais la famille Howard aussi, ce sont des jeunots... il n'y a que Cyril Towers à avoir été capé avant guerre. Je crois aussi que Jake Howard est en fait son gendre.
Mon camarade de Sydney (Sean Fagan si tu connais ? www.rl1908.com www.rugbeia.com etc) me signale en revanche George (1 cap, 1905) and Walter (4 caps 1938-39) Vickery. Le père et le fils ont tous deux fait carrière au club gallois de Aberavon mais, amusant, le fils fut capé pour le Pays de Galles et le père pour l'Angleterre...
Ma question est en train de tourner chez quelques toqués d'histoire du rugby ;-)
On en reparle... ca m'interesse...
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