S'envoler pour la Nouvelle-Zélande afin d'assister à une Coupe du monde de rugby. Vous y croyez, vous ? Moi, pas encore. Pas avant d'avoir posé un pied sur le sol kiwi. 22 heures de vol ? Même pas mal. Le plus difficile, c'est l'attente. La sale attente. On voudrait partir hier. Je vous emmène dans mes bagages, ami(e)s de la Comme Fou. Vous serez avec moi. Tous autant que vous êtes. J'ai l'appareil photo qui va bien et de l'encre plein mes stylos, l'Azerty qui frétille et je n'ai pas prévu de dormir ni beaucoup, ni longtemps. Et s'il y en a qui se demande encore pourquoi j'ai choisi cette illustration pour ce message... Non, j'déconne. Bien sûr que vous savez. Tout ça pour vous dire qu'il faut savoir profiter du temps présent tout en pensant à l'avenir. Lequel n'est jamais qu'un passé en attente. Kia ora !
28 commentaires:
Pour ce qui me concerne, je suis toujours étonné par la qualité et la variété de tes illustrations, mais de moins en moins surpris puisque dorénavant je les attends...
Et souvent épaté Bon voyage heureux homme!!!
Saint-André l'inédit. Calmann-Levy 1998. Epuisé. Comme son auteur. Putaing, plus que douze heures avant le décollage. Paris-Séoul-Auckland.
L'attente, une fois bien plantée, les rêves de l'aventure se reposent, temps de faire le point, avant de repartir de plus belle et tout de go d'un pas plus gourmand encore. Allez, allez, serre tes lacets camarade, mets de l'huile dans l'ordi et en avant. La bise.
Kia pai te haere.
La bise :))
Putaing, les gars, y'a déjà Fred et Seb sur lequipe.fr. Ca décoiffe. Manque plus que Juanito et Le Tigre. Quelqu'un peut-il aider Gilles, qui m'a l'air ennuyé avec son ordinateur...
Gilles, demande à ton fils...
Le Tigre intervient depuis le début... ;-)
(Tu n'as pas eu mon SMS ?)
ça y est Ritchie!!! Grâce à Benoît j'y suis arrivé (en réalité, je mettais la charrue avant les boeufs...
Mon premier post est publié. A toi de deviner mon pseudo (trouvé par Benoît car tous ceux que j'essayais étaient indisponibles...).
Bon, on va te lire avec passion...
Cheers and greetings comme on dit là-bas.
Gilles, tu as plein de qualités...
Je me demandais si Fog off n'était pas le pseudo d'un certain Tigre...
En fait, cher Antoine, j'étais en plein désarroi face à la complexité de l'inscription. Ou, si tu préfères, je n'étais pas à la noce(s)...
Le Tigre (Fog off), Seb, Rugbymane, Juanito, Renvoi aux 22, Musil, Fred... ca y est la Comme Fou est au complet. Les gars, vous êtes des kings. On va se régaler...
Chut, Ritchie, Le tigre avance à pas de... loup !
Et les gars, vous avez mis le temps, quand-même. Pourtant, avec Schopenhauer cité dans mon premier post, tous les ingrédients étaient là.
Mais confondre mes modestes contributions du début avec la plume virevoltante de monsieur de Bure (merci Antoine) fut pour moi le plus grand des honneurs (et des bonheurs). D'ailleurs, ça me donne des idées...
Monsieur Gilles, faut qu'on cause !
Quand tu veux mon cher Nemer, mais j'espère que tes pas ne sont pas ceux d'un loup gris...
Mon cher Gilles, ma moitié arménienne ne te remercie pas de cette analogie "lupuesque" ;-)
Petite précision : le lien ver l'url ajouté à mon post précédent est une incitation à aller visiter mon blog, celui dont je vous parle depuis 6 mois. Les travaux sont toujours en cours, mais j'attends vos conseils et commentaires avec impatience...
s'que tu crois Tigre fauve??? C'était en fait un hommage à ta moitié arménienne!!!
Et de quoi qu'cest qu'tu veux qu'on cause???
T'as mon numéro, pas vrai!?!?!...
Ce sera un honneur (et un bonheur) de t'entendre.
Je vois que la Comme Fou fonctionne à plein. Putaing, les copains, vivement le Crazy Ruck de rentrée. Celui-là, il durera toute la nuit...
Bon, ben, ça commence mal, un heure d'attente à Roissy. Les bleus, eux, sont coincés à Londres. Mais une chose est sûre, on va arriver avant eux...
Anecdote : le manager des équipes de France, Jean Dunyach, a confondu Air France et British Airways pour partir... Comme disait l'oncle de Benoit, "plus le rugby devient pro, plus l'équipe de France fait amateur". ca n'a jamais été aussi vrai.
Oh 'tain...Bon allez, j'espère que you have a nice trip, Richard. Un conseil de Bibi, les amis, écoutez Neil Diamond, et pis comme disait Ibanez, un soir de banquet "faites l'amour à vos femmes...ou aux autres". Coquin ce Dacquois, hum, sous ses airs de fly fisherman des nives.
Voyage surclassé. Sympa. First. J'ai vidé une bouteille de Perrier-Jouet (belle paire de centres de l'Aviron) et une autre de Haut-Smith. Caviar. Enorme. Et un fils de merde : Hanna, que je vous déconseille vivement.
En revanche, Sunset Bld, un régal.
Maintenant, c'est Seoul, sa brume et son lounge. Revue de presse. Les Bleus, eux, sont à Dubaï.
Un film, voulais-je écrire...
Oui, Hanna te barbera...So long. So lounge.
Attendre est encore une occupation.C'est ne rien attendre qui est terrible. Cesare Pavese
Effectivement, G.E..
Buzzatti en parle bien, même si son désert n'est pas précisément celui qui borde Dubaï...
Certes Hanna, mais alors ses soeurs!!!
Quand on vous dit que vivre est un métier... Et, à défaut d'un bel été, nous te souhaitons, cher maître du (crazy) ruck, un bel hiver austral.
Et, juste pour l'anecdote, on ne laisse plus rentrer Musil sur le blog de l'équipe???
ça y est, Musil est revenu... C'est encore moi qui faisait une fausse manoeuvre. Décidément le "social network" n'est pas vraiment mon truc...
Personnellement, je ne parviens pas à laisser de commentaire malgré les messages confirmant leur prise en compte. Je ne cherche pas à comprendre...taire malgré les messages confirmant leur prise en compte. Je ne cherche pas à comprendre...
Il est lent, le réseau commentaire de lequipe.fr. Parce que ça doit passer par un modérateur (qui doit être débordé)...
Pour le reste, Takapuna sous la grisaille. L'hôtel des Bleus est terrible, au sens premier du terme. Triste. Au bout d'une rue sans âme. Avec le temps gris, j'espère qu'ils ont emmenés de bons bouquins, parce que deux mois, ça va faire très très long...
Salut à Tous. Un petit coucou pour vous, nous souhaiter une belle CM. Ici, sur L'Equipe.fr, ou en NZ. A+.
Hey Matthieu, comment tu vas bien? Tout roule j'espère? La bise.
Sinon, Richard, alors comme ça la rue de l'hotel des bleus est sans âme? La belle affaire. N'ont donc plus qu'à lui en trouver une, d'âme. Les jolis devoirs de vacances que voilà. Et se draper dedans. Une fois que. Pardi. Sans quoi leur coupe du monde aura tôt fait de tourner à Backstreet. La bise aussi, té.
Qu'ils lisent "L'appareil à sous", une délicieuse et brève nouvelle d'Albert Vidalie : jamais lu une si parfaite et désespérante description de ce qu'est une "petite rue triste"... Vivement conseillé par Benoît et votre serviteur.
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