dimanche 22 novembre 2015

Sage folie

Voici venu un nouveau, voici lancé un défi d'esprit, voici l'espace offert à notre imagination. Folle sagesse. Le blog. De quoi lancer des éclairs et poser des douceurs ; par ces temps assombris de violence ennemie, il est vital d'entrer en poésie. Folle sagesse.

Avec Christophe, nous défrichons les pensées mot à mot, par petites goulées. Ou bien à grandes rasades, selon. En sortira, vous le savez déjà, un dico honoré et champion. Comme pour Benoit, comme pour Seb, qui arpentent eux aussi l'art et la manière, la partition et le grand écran blanc.

Folle sagesse : le nom du nouveau blog venu chez Comme Fou. Espace infini pour s'ouvrir à ce qu'il y a de plus beau et que nous portons sans avoir le temps ni l'endroit pour le concevoir et le proposer, l'échanger et le recevoir en partage. Maintenant, c'est fait. C'est Folle sagesse.

Un prolongement de notre folie d'ici, à Comme Fou, folie de paillards et de joueurs, de premières lignes et d'auteurs, d'ami(e)s et de soutien. Un pack, ruck construit autour du porteur, mêlée de sens et d'essence ovale. Mais pas que.

Alors bienvenu à toi, Folle sagesse, ami Christophe. Bienvenu dans l'équipée belle. Tu nous offres la possibilité d'enrichir notre palette d'émotions et de prolonger ensemble d'autres sensations. Chez toi. Nous allons te rejoindre. J'ai déjà commencé à le faire. Salutaire.

2 commentaires:

Christophe a dit…

Mille et quinze mercis cher Ritchie pour cette passe sur un pas… Tout un art. Je ne suis pas certain que l’idéologie puisse changer le monde vers un mieux, car même celles qui sont belles à l’origine ont cette tendance à la perversion historique (libéralisme, communisme, etc.). « La poésie vécu comme poésie, c’est lé désir et l’agent de l’instauration démocratique, qui peut seul sauver le monde », disait Yves Bonnefoy. J’adhère… La poésie est un acte de résistance qui s’accomplit dans la douceur et la beauté. D’ailleurs, tous les poètes que je connais sont magnifiques d’humanité. Je n’en dirais pas autant des philosophes… Alors, oui, entrons en poésie, car elle a, comme la vie, l’excuse de ne rien prouver (Cioran), elle est une manière de reprendre le large pour jouer ensemble à un jeu qui ne meurt jamais, une lettre d’amour adressée au monde, disait Chaplin. Amitiés.

richard escot a dit…

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