"Hello, la Comme Fou en TGV! Là, je me sens comme à la fin des colonies de vacances quand il fallait quitter ses amis(es) pour la vie mais sûr qu’on se reverrait … Aïe, ça pince un peu quand même du côté du cœur même si j’ai regardé droit devant moi sans me retourner (travelling, Seb ?)…
Toute ma gratitude, toute ma reconnaissance pour cette parenthèse (ouverte ) qui redonne du peps, le goût des autres, l’envie de continuer cette conversation certes à distance mais si revigorante. Affinités électives, atomes crochus, longueur d’onde identique ? Va savoir…
Si par des circonstances tout à fait improbables vos compagnes habituelles venaient à se lasser de vos blagues et histoires (rugbystiques, mais pas que …), je prends une option, eh oui, sur les quatre !
Là, je suis en train de feuilleter vos ouvrages et tout à coup je me dis: "Et zut : on a encore oublié Bébel !"
Là, je suis en train de feuilleter vos ouvrages et tout à coup je me dis: "Et zut : on a encore oublié Bébel !"
Voilà."
Nous écrit Sylvie à l'issue de ce trente-cinquième Crazy Ruck. Mais premier extra-muros, à Grenoble aller-retour, et la - belle - rencontre avec Gobetween-Gariguette. A la table du Palais réservée à l'étage, pour prendre un peu de hauteur et d'auteurs. Sylvie si subtile, fine, délicate, pudique. Entourée par Seb et de Ritchie, Christophe et Benoit, ses Walter-égaux cimentés avec le renfort, massif, de Chartreuse. Vert sur verres. Nous avons étiré le temps devenu soudain super élastique. Six heures à table qui ont duré six minutes ou six jours, je ne sais. Passèrent en profondeur cinéma, rugby et résilience, mais aussi distribution d'opus et cœurs à l'ouvrage. Dehors le soleil. Dedans surtout. Pas une journée, non, l'infini. A suivre. Vraiment. Parce que.
Nous écrit Sylvie à l'issue de ce trente-cinquième Crazy Ruck. Mais premier extra-muros, à Grenoble aller-retour, et la - belle - rencontre avec Gobetween-Gariguette. A la table du Palais réservée à l'étage, pour prendre un peu de hauteur et d'auteurs. Sylvie si subtile, fine, délicate, pudique. Entourée par Seb et de Ritchie, Christophe et Benoit, ses Walter-égaux cimentés avec le renfort, massif, de Chartreuse. Vert sur verres. Nous avons étiré le temps devenu soudain super élastique. Six heures à table qui ont duré six minutes ou six jours, je ne sais. Passèrent en profondeur cinéma, rugby et résilience, mais aussi distribution d'opus et cœurs à l'ouvrage. Dehors le soleil. Dedans surtout. Pas une journée, non, l'infini. A suivre. Vraiment. Parce que.
43 commentaires:
Loin d’une «Rencontre du 3eme type», car ici point de science-fiction. Une «Cinquième élément» assise en son Palais, place Victor Hugo, en attente de belles lettres et de bons mots, de 4 gonzes émus de se retrouver à Grenoble pour un moment unique où le temps suspend son vol entre deux coups de fourchettes. Une dilatation du temps salutaire pour une pause en échanges majeurs, des âmes qui se dévoilent, des regards qui se trouvent, des maux pudiques qui pansent et un plaisir émouvant d’être ensemble. Une migration festive Iséroise, à faire tomber toutes les Bastilles et faire des nuits de boue, à se conter des matchs, des points de suspensions, des matrices cinématographiques, des livres permettant de trouver le sens caché du monde, de quoi faire redémarrer nos motrices, croire en l'autre et se dire que décidément "Quand passent les cigognes" l'hiver est derrière nous, supllanté par le soleil d' "Une journée particulière"...
Richtie,
je sais que ce soir la cigogne va dormir sur son nid ne craignant ni froid, ni blizzard, rompue au froid et probablement inondée par le soleil de la "Comme fou" !
Que c'est simple le rugby quand c'est joué en équipe !
Seb, il avait visiblement déjà travaillé son texte dans la rame ! Oui, Tautor (Alain), un jeu collectif. Et tu étais avec nous par la pensée.
Célébrer la vie tant qu'elle est encore là, être vivant ensemble en arrêtant le temps. Et tout ça... Ce qu'on répare de soi passe par l'autre, passe à l'autre, plus alter que ego. C'était un sacré cinq de devant hier : flexion, touchez, jeu !
Bise
Pour une équipe peu habituée aux rencontres à l'extérieur, c'est une belle première. Heureux pour vous.
Prépare le "flottant" (selon la terminologie jantiste) car rencontre au sommet autour d'un panier de basket le 21 mai avec grillades argentines. J'ai proposé l'apéro avant, mais on m'a traité de tous les noms, surtout les membres de la future équipe perdante (ils se reconnaîtront)...
Le 21 mai ou le 2 juin ?
C'est le 2... (La Chartreuse fait de la résistance).
La "Comme fou" a cela de précieux que quelque soit les compositions d'équipes, lors des crazy ruck ou ailleurs, il n'y a que des 5 majeurs ! Car l'essentiel est d'être : "Ensemble, c'est tout" !
Alors là moi il me faut une explication de la terminologie Jeantiste du "flottant" : kézako ? Parce que s'il y a en plus des particularismes locaux ( pas locos ).... Et quelles sont les compos respectives ? Seb a beau jouer "Démineurs" avec ses 5 majeurs, il y a de la provoc' dans l'air ( Ch = American sniper ?) Les "membres de la future équipe perdante" ne devraient pas tarder à se manifester... :-)
Ah, le flottant ! Je laisse à Benoit le souverain privilège de te mettre au parfum, chère Sylvie. Lui seul pourra t'éclairer sur cette affaire (au sens propre et figuré, un indice...)
Concernant le big match, à la sauce Rollerball "Houston, Houston... ou plutôt Palaiseau, Palaiseau.." (j'espère d'ailleurs que tu pourras être des nôtres !), un rien de provoc d'avant match... Ils ne daignent pour l'instant répondre. Une boucherie ça va être, je veux dire au niveau du barbeuc...
Ne jamais disputer une rencontre dans sa tête trop en amont.
Concernant le flottant, disons que Benoit à le cuissot galbé et souhaite nous en faire profiter lors de cette rencontr de basket programmée le jeudi 2 juin à Palaiseau et qui devrait voir s'affronter l'équipe des "gros" (Le Tigre, Seb, Ritchie) à celle des "fins" (Benoit, Christophe, Antoine). Vincent PL n'a toujours pas donné signe de vie. Il nous faudra alors "renforcer" notre équipe avec un joker. Qui pourrait être Juanito, lequel n'a pas encore répondu à la convocation.
Le 2 juin nous laisse un peu de temps pour dessiner nos galbes respectifs.
Voili voilà...
Quant au barbecue, mon épouse étant argentine, tout le monde présume que nous aurons du produit puma à foison.
Merci pour l'invitation Christophe mais je travaille ce jour- là. Mais je me tiendrai au courant des exploits des uns et des autres . Rappelez vous que vous jouez en NBBA : Notre Barbecue/Basket Annuel . Pff je suis bluffée : des compéts sur un seul match c'est géant ( pardon Seb : "Géant" ). Et puis un stage d'altitude - Grenoble moyenne 212 m - et une cure de plantes ça devrait booster vos talents naturels !
PS : J'ai vraiment hâte de voir la photo en flottant de BCG ( Benoit au Cuissot Galbé )
On voit bien, Sylvie, que tu as un faible pour Benoit. Cela dit, tu as du goût.
Ah c'était un sacré moment que ce déplacement à Grenoble...sacré moment, pour sur...et j'avoue que les mots me manquent...mais faut-il, absolument, mettre des mots sur toutes ces émotions...Ah...Je vais me garder, longtemps-longtemps, toutes ces images et les laisser flotter, comme ça, dans la douceur et la délicatesse du souvenir...Beaucoup de pudeur, autant de rires, d'attentions à l'autre, voilà pour donner le ton et la couleur de notre séjour grenoblois... J'ai appris en passant que l'amitié ne pouvait se dissoudre dans la chartreuse et que les rues de cette ville autorisaient quelques cad-deb d'école, tchic-tchac devant la défense inversée des riverains...que le rugby était une fille qui sentait les vendanges...que Richard avait le don de susciter rencontres et confidences...que Seb le chic pour plaquer de ces plans séquences à haute intensité émotionnelle...J'ai lu dans le regard du grand 9 de Plaisir un avenir possible de Tony Parker et je te le dis, Hein, on va les peler comme des rates du Touquet, yek-yek-yek, les mammouths de l'Essonne...avec un Antoine à trois points, ça va pas faire un pli...Enfin, j'ai rencontré Sylvie...et ça les amis...rien que d'y repenser, le coeur me saute trois battements...La bises les fanfans!!
Tu cesses ce qu'ils te dizent les mammouths de l'Essonne ? Qu'ils font faire tourner les tables pour réveiller le Jacques, le Furax d'Auch et de Lesdiguières rien que pour avoir l'influx de vous marquer dessus, les rates à gaz du Toupet ! Hannibal allèle a du caractère et va passer les Alpes en juin, de ça, il y a fort à panier. Non mais !
Quant à laisser flotter, pour ça tu vas flotter oui Benoit. Comme ton flottant. Vintage, va !
Sylvie, on te gardera un cuissot de l'Appolon des belles laitres...
Ils sont cuits Benoît, cuits je te dis, les encrêpés du pariétal. Au rock, nous voilà !! Ça va chauvet...
J'aime bien la guerre psychologique d'avant-match, c'est là que se révèlent les vrais caractères . Ah se faire traiter de "vintage" quel délice !! Seb faut relever le défi : tu sors les Poignards volants et tu les termines à la Kill Bill .
Pour qu'il y ait guerre il faudrait déjà qu'en face il y ait "L'Adversaire" !! Là franchement vu la composition ça semble short, juste une équipe qu'on surnomme dans le jardon "Les visiteurs"...Attention ça va faire ouille du côté des côtes...flottantes ! Et Sylvie pour la méthode "Shaolin basket" cela reste un secret !! hi hi
Bon-bon-bon-bon...Il ne s'agirait pas non plus de fournir une sur-motivation clé en main à l'équipe adverse...alors-alors-alors-alors...On va essayer ça...Oui, plutôt...Antoine et Christophe, vu qu'on a ab-so-lu-ment aucune chance, mais pas l'ombre d'une, pas ça, que fiff, la peau de mes noix...qu'ils vont nous faire tourner en bourrique, nous écrabouiller, nous laminer...j'ai pensé à un tricot de corps noir pour ce qui est de notre tenue de match..ainsi nous porterons notre propre deuil à l'avance...ma cousine Fleur de Marie se chargera d'acheminer, par la voie des airs (sous son allure de grande bringue fragile, Fleur dissimule ( ah les mystères de la dissimulation au féminin...) une ruffiane au long cours) l'une de mes pattes de lapin spéciale porte-bonheur ( elle fut bénie, il y a déjà quelques lunes, dans un temple de Pibrac par Guy Novès en personne,et je ne le louerai jamais assez pour ce geste tellement magnanime...Oui, je veux me souvenir toujours du grand homme interrompant tutu-nunu la tonte de sa pelouse ( il porte un polo blanc et un chino à travers lequel on suppose tout un lacis complexe de tendons qui s'agitent dans les eaux sombres de quelque causerie imaginaire d'avant-match. Il vient de rendre son ordinateur à son président dont on apprendra, mais beaucoup plus tard, qu'il refourguait en douce, mais oui le bougre, du matériel informatique périmé, en échange de quelques cours gratuits de yoga du rire. Bref...Casque vissé à l'oreille, le grand entraîneur écoute sur son vieux walkman les précieux conseils de Claude Labatut, oui mais il vient à ma rencontre...silence...puis il me tend la patte de lapin ( un garenne abattu d'un seul coup de fusil)...silence à nouveau...puis il me chuchote: " tu n'as pas voulu partir en stage commando à Canet en Roussillon avec Christophe et Antoine...tant pis pour vous...mais dis-toi bien que la trempe que Richard ( le Larry Bird d'Aunis) Nemer ( le Kobe Bryant de Beyrouth) et Seb ( ce Shaquille des salles obscures) vont vous coller, sera le début d'une belle aventure...silence et re...enfin il établit un parallèle entre cette future raclée en terre Palaisienne et la tripotée de 1996 contre les Wasps que l'on sait...) Alors, les zamis, acceptons de nous avancer vers là-bas en tant que victimes expiatoires prêtes à donner leur massimum...
Bon là impossible de lutter. Si Benoit convoque d'entrée et traîne le Guy jusqu'à Palaiseau, je n'ai plus qu'à relire "Vies minuscules" (pas vit, hein, on a dit pas le physique) et ce magnifique passage sur ma sixième ville d'adoption (après Poitiers, Fontenay-aux-Roses, Paris, Neuilly (si, si) et Boulogne-Billancourt) pour retrouver le chemin buissonnier qui nous mènera à ce terrain champêtre comme jamais aire ne fut chanté. Nous allons donc marquer à trois poètes, et ce sera notre "Pacific Rim" (Ben oui, Seb, moi aussi)
Guerre et paix, quoi !
Et en ce qui concerne nos adversaires, ce serait plutôt "guère épais". Je reste poli dans le vent, vous remarquerez...
Hé-hé-hé...rien ne sert de Dacourir...mes petits chats...il faut repartir à 3 points! ( bon, j'ai jamais joué à ce bazar moi...vidéo interdite, hein!)
Moi j'ai joué contre des filles. Ca ne devrait pas trop me changer (hé, hé...) Bon, je sais c'est sexiste mais tous les goûts sont permis.
Voilà! Hein, Christophe et Antoine, on a inversé la pression! On leur refilé le mistigri. Il se sentent fort. C'est bon ça...Hummmm!
Magistral, Benoît ! le coup des victimes expiatoires ça marche toujours ah je vous vois déjà flottants au vent, avec vos maillots noirs, humbles et vaincus d'avance ... Ca sent le cheval de Trois... Vous laissez pas faire les Mammouths de l'Essonne, sûr que sous le tricot de corps y zont cachés des pecs de foufous à faire pâlir Guy Novès ( google, tu tapes guy novès torse nu et c'est wow !)) et que ça mijote déjà des tactiques. On les connait Parker ces prétendus guère épais, en fait tout dans le tendon, du sec, du nerveux qui court comme un lapin ( d'où la patte ) . La prochaine fois ils vont trouver un grigri à base d'aile de corbeau et vont s'envoler sur le terrain, c'est leur côté guerre indienne : surveillez les zhauteurs, y communiquent par signaux de fumée .
Sylvie a choisi son camp ! C'est l'émoi au panier... Mais nous on va tout tenter pour les faire craquer, les tendons. Jusqu'à la rupture. Cela dit, risque de faire chaud en juin dans l'Essonne. Un facteur qui comptera. Et même deux fois. D'où la grillade. C'est cuit, quoi. C'est bien ça ?
Que nenni, j'assure ma mission de gobetween : j'ambassade, j'observe, j'informe . Bref je neutralise, chus l'ONU moi, la blanche colombe et son rameau (-_-) . Et puis les données climatiques c'est comme l'arbitre : faut faire avec . Pour rétablir l'équilibre et relancer je remarque l'excellent travail stylistique des challengers : Christophe "au rock, ça va Chauvet" je dis que c'est du très fin ça . Ils en disent quoi les encrêpés du pariétal ???
Pour l'instant, j'en dis rien. Chuis devant Saracens-Wasps.
Moi je dis que "l'Appolon des belles laitres" ça vaut trois points aussi, au dessus des "nuages flottants" qui nous serviront de sparring partner sous le soleil exactement...
Ce sera où et quand? Juste pour voir....
AB
A Palaiseau
Une semaine pile après votre escapade grenobloise c'est une sorte de G7 aujourd'hui ... donc je n'ai pas chômé et je vous ai anagrammés ; attention aux révélations !
Le boss d'abord, j'avais déjà fait des tentatives (mais j'ai trouvé mieux je crois Richard ...) et curieusement c'est en anglais que ça se passe mon truc et parfois je mélange français et anglais . Alors Richard Escot aime les fleurs : ORCHIDS CRATE . Il aime la liberté et il CRIE TCHADORS ! Il adore le whisky c'est A SCOTCH RIDER . Le plus étonnant ? De nombreux mots liés à l'écriture et à la musique : orchestra, recordist, accorders, chorister, redactor, rhetorics ... les anagrammes sont incomplètes mais on fait ce qu'on peut . Je crois qu'il faut VRAIMENT te mettre à écrire et à faire de la musique en plus tu auras le droit de TRICHER CODAS :-)
Faîtes pas les malins les autres parce que ça va être votre tour .....More to come ....
Au tour de Seb, notre AS du STYLO BIEN BLEU . En anglais c'est plutôt plus coquin : BE SIN, ABSOLUTELY ou BESTIALLY ON US .... hum! hum ! Mais surtout,vous savez pourquoi Seb aime tant le cinéma ? C'est parce que dans son nom il y a plein de BOBINES,STYLE ALU (je suis hyper fière de l'avoir trouvé )
enfin en travaillant un peu - c'est pas un loisir, un vrai boulot ... Etienne Klein est un crack il fait ça à la volée, je l'ai vu faire c'est troublant ....moi c'est plus laborieux.. donc en travaillant j'ai trouvé LIABLENESS dans ton nom, la fiabilité ... on peut donc compter sur toi... mais ça on le savait tous :-)
Certains MERCI peuvent se retrouver en CRIME, mais le mien en cette occasion va rester sans désordre, car Sylvie la chevalière des ordres et des lettres, tu viens de me faire un honneur renversant ! A la fin des envois tu touches ! En ces temps rosses où le monde est en déKlein et où l'actualité nous en met pleins les bobines, se faire anagrammer par une femme qui a du nez, me fait commencer cette journée en odeur de sainteté. Certains recevront des palmes académiques ou d'une autre envergure, ce billet en haut me met en cannes, heureusement sans me clouer le bec. Car si éventuellement je suis un as en bleu qui fait bonne mine, (en tout cas certainement pas "l'as des as"), je sais assurément que tu es une dame de cœur, pas besoin de tarot pour le voir ! Et pour la réception à Grenoble (ville olympique) et la réunion de tes mots renversants, je te dis un affectueux et indémodable "Rio Bravo"...
Merci à toi Seb, my pleasure comme on dit à Nouillorque, là je suis en train de cuisiner le cuissot galbé de Benoit, pas facile ... Allez on y va : donc notre Benoit .
Très rugby, la preuve : JE BOTTAI NENE (rappel : Néné est le surnom de Fabrice Landreau que Benoit rencontra à St Cloud en des circonstances loufoques ) mais bon ça c'est juste pour le fun ... Il y a en effet plus sérieux, notamment cette invention ( à venir ? ) du JET BAIONNETTE, Benoit s'en va en guerre ? Ben justement ses guerres indiennes BATTENT EN JOIE, j'aime bien celui-là à la fois sombre et clair ; tout Benoit quoi !
Pour les anagrammes incomplètes j'ai trouvé tentation( oh oui ! oh oui !), attention et surtout la BENTONITE, la bentonite est une argile colloïdale dont le nom vient de Fort Benton dans le Wyoming aux États-Unis. Ton côté ricain . Ca sert à plein de trucs dans le génie ( civil) ça absorbe les liquides, on l'utilise également dans la conception de feux d'artifices mais surtout, surtout et là l'amoureux de Brautigan que tu es va fondre : la bentonite est utilisée pour la pêche à la ligne de loisir pour constituer une amorce de fond collante, je ne sais pas si la pêche à la truite est concernée :-)
Oh mais je prends le tout, chère Sylvie, et j'en fais un feu d'artifice...oui, un feu d'artifice à la japonaise...un bouquet de braise et de fantaisie...Ce samedi d'après bière et re...la bentonite qui absorbe les liquides, alors là tu vois...tout ce qu'il me manquait...La tempête qui peine à s'apaiser sous mon crane, fou-ouille-ouille, comme disait, hier soir, un pote ancien deuxième ligne ( sacré pécheur de truite en eaux saumâtres et argileuses, celui-là, tiens...) qui a longtemps évolué à Salles (exécuteur des basses besognes, poète mâle et innocent (architecte à la ville en plus alors...), orpailleur éclairé de l'obscur et conteur d'anecdotes qui font mon miel ( il m'inspire- le sait- c'est l'un de mes indics ( lui qui s'auto surnomme ainsi) en mélancolies anonymes et on trinque à ça, parfois, vu que ce genre de magie ne restera jamais longtemps à sec. Ça brille de mille pudeurs minuscules aux coins de nos paupières adulescentes et puis tous ces silences. Pfiou...)...
Oui, Sylvie, grand merci-grand bravo, puisque "tout est là sauf, bien sur, ce qui manque" aurait conclu Braut'...dont les mots, ah oui, battent toujours en joie, surtout ces jours où je sens qu'il va me falloir botter en touche avant que ce samedi ne commence pour de vrai, yek-yek-yek. Amitiés bien vives!
Rien que pour "orpailleur éclairé de l'obscur " ça mériterait une nouvelle ça ...
Merci Benoit .
Christophe est un délice pour l'amateur d'anagrammes . Toutes ces voyelles, toutes ces consonnes, tous ces "H" !!! La 1ère trouvaille c'est avec les H justement "Offre haschich prêté" mais c'est pour rire, une façon d'allumer les neurones, après on affine .
Il écrit des poèmes c'est un SHERIFF CACHE STROPHE( sheriff c'est pour l'étoile ) il est philosophe mais pas du genre à t'assener sa sagesse alors il te dit avec une certaine désinvolture " moi ? CHERCHERAIS ETHOS ? PFF ...." En anglais j'ai trouvé une anagramme que j'adore THE PHACOCHERE RIFFS J'aime bien car on reconnait un numéro 9 d'élite ( le phacochère a des pointes à 50 km/h, il tient tête aux lions et aux léopards ... bon ok il a un physique spécial - pas Christophe, le bestiau ! - mais quelle énergie ! ) et on reconnait aussi le guitariste à ses riffs . Plus élégant et qui te sied bien c'est "REFRESHES THE PATH OF CHIC" ça je le lis sur Folle sagesse tous les soirs ; une bouffée d'air frais (lisez "en filant " le 12 avril et vous comprendrez ...)
Plus troublant encore pour toi qui écris, hé bien il faut savoir que c'était écrit ! Figure toi que j'ai trouvé bien cachés dans ton patronyme les mots anglais suivants : aphorist, prosaist, enfin co-scripts ... ce qui lorsqu'on sait que tu aimes écrire en bande ( de deux ) est stupéfiant ! :-)
Et maintenant, ami(e)s de la Comme, soyez fou et trouvez les anas de la nana. Là, maintenant, j'avoue qu'en travaillant sur Noam j'ai la tête désyntaxée. Mais il faudra s'y plonger. A vos élucubrations.
Sylvie, Scotch Rider et Tricher Codas, ça ne va bien, effectivement. Viva Lagavulin !
Les anas de la nana on dirait du Bobby Lapointe ...
Chaud l'ananas?
Enregistrer un commentaire