Aura-t-elle lieu ? Quelle beauté doit-on enlever au Millennium si ce n'est la beauté du jeu ? Hélène veut-elle des garçons ? Notre armée décimée est-elle de taille à gagner le (saint) siège sans Papé ? Jamais l'équipe de France n'a remporté trois succès d'affilée sous l'ère Lièvremont. Le match de vendredi soir est davantage qu'un test, c'est un examen. De passage. Une route dégagée, dirait Ulysse, vers le Grand Chelem d'attaque à Ithaque, certes, mais surtout la possibilité d'une île en Nouvelle-Zélande, dans un an et demi. Un espoir. Alors, les Bleus terrassant le Dragon, illusion ou réalité ? A vous de me dire, à vous de voir. Y'a quand même 20-0 à la mi-temps, pour les Tricolores...
21 commentaires:
Terrasser le dragon? Mai qui est le Georges de l'équipe? Pas de Georges, ni de saint? Alors, biaisons, et référons-nous à Paolo (Ucello, bien sûr), et espérons que Palisson se transmue en "oiseau" de bon augure...
Heureux qui comme Ulysse
A fait un beau voyage
Ou comme cestuy là qui tua le dragon
Puis est retourné
Plein de bonnes vibrations
Guigner avec les siens
Un grand ch'lem en partage
Hell !! (je ne sais pas le dire en grec ancien ni en gallois...)
J'avais manqué l'esprit du titre à mon premier passage trop rapide... il faut toujours relire les billets de Maitre Ritchie... :-)
Bon allez, je file... Cinq pages et la une, ça creuse... J'ai hâte... Au fait, hier soir,nous sommes allé voir "Shutter island". Enorme. Scorcese à son top. Et Di Caprio n'est pas Lo Cicero. Sa tenue en mêlée est remarquable. Jusqu'au bout. Quatre vingt minutes dans les pattes.
Merci du conseil. Un bon acteur ce Léo. Quant au cheval de l'histoire, entre les blessés qui en descendent et les nouveaux qui y montent, c'est un véritable manège. Toutnicoti tournicoton, l'EdF décrochera-t-elle le pompon ?
Selon la tournure des évènements, on pourrait, avec Williams, Palisson, Andreu et même Halfpenny qui n'est pas très balèze, voir ce qui se fait de plus léger dans le rugby international sur le pré en même temps...
Etonnant, non ?
Considérons: 1) que le ballon se déplace plus vite que les joueurs ; 2) que le centre du terrain est plus renforcé et cadenassé. En théorie, cela profite au jeu sur les extérieurs. Dans ces zones, plus d'espace, moins de joueurs, des ballons en deuxième, troisième main et plus. Les ailiers (les autres le cas échéant) ont là, dans leur zone, plus de latitude pour jouer l'esquive. Sans parler des interventions partout ailleurs, en électrons libres, voilà qui sied à de vifs créatifs. Souvent pas balourds, des(relativement) petits ou fins. Ce n'est pas pour déplaire, non? Bon match les amis.
Toucher et gravir l'Olympe en allant se faire broire à Cardiff?Les deux peuvent s'additionner si on ne soustrait pas de facteurs extra-sportifs et importants pour un fétichiste comme moi!Le premier est météorologique,en effet les cieux Gallois seront t'ils diablotins avec nous,afin de déverser sur nos bleus une pluie acide et mal en contreuse?Se mêlant sous notre pasck de ce qui ne la regarde pas,elle paralyserai au trois-quart,j'en ai peur,nos chances d'attaques victorieuses cheminant sur la route de Graal.Deuxième facteur sonnant à mon oreille,et qui renforcerai mon optimisme,savoir que la maraboutante Nathalie Simon ne se rendra pas dans la ville de l'un de nos joueurs,car il suffit!L'infirmerie est déjà bien remplie,merci...Si ces deux éléments se divisent,alors nos probabilités de victoire en terre Celte se multiplieront et Trinh-Duc et Parra pourront agir en parfait:"Démineurs"!
Neuvième post à neuf heures du match. Symbole. ici tout est calme, encore personne. Belles pages, non ? dans votre quotidien préféré. Ca monte en pression. Ceux qui en connaissent pas le Hwyl découvriront quelque chose d'étonnant. Et comme dirait notre ami Seb l'érudit des salles obscures, ces Gallois sont des super héros, il suffit de prononcer le nom de celui qui inventa la ligne de trois-quarts moderne : "Hancock"
Belle passe Ritchie!Avant le coup d'envoi nous reste 333 minutes à se tendre,chiffre à moitié diabolique avant d'affronter ces rouges!Une demie peur aussi...L'antre de ce soir est un écrin magnifique (même si l'arms park résonnait plus en choeur...)pour les jours de gloire,les pages du jour sont brillantes,et comme Capra et Benigni on se dit que décidément:"La vie est belle".
"Hancock" c'est le demi-frère d'Arthur J. Gould qui a émigré aux US ??
http://bit.ly/aWqWDj
http://bit.ly/b7Ntw3
C'est l'arrière grand père de Will Smith...
no kidding ??!!
le Man In Black a du sang Gallois et de l'ADN de rugbyman... c'est la nouvelle du jour, assurément...
A demain matin... au kiosque !
Presque pas peur !
AP et FTD, rien ne pouvait me faire plus plaisir... Et ce Shane qu'on abat
ouf!!!
Ce Shane qu'on abat pas, d'ailleurs, pusiqu'il feinte encore...
Allez, les copains, en route pour le Grand Chelem... Et soyez là le samedi 13 mars à 11h dans le hall de là où vous savez pour des rencontres de qualité... et le vernissage de l'expo : "Cent ans de Bleus dans le Tournoi"
Brillants, étouffés, et puis la délivrance...rien de rassurant...Pour ce que j'en dit... Comme disait Dylan
"« Même s'ils coulent à pic, ils reprendront pied"
d'accord la suite est différente mais dans un même amour du jeu...
"Même si les amants se perdent, l'amour ne se perdra pas"'
Ensemble c'est quand même l'âme de ce jeu... comme l'essai de Willians...Reprenons en coeur...
"« Même s'ils coulent à pic, ils reprendront pied"
Même si les amants se perdent, l'amour ne se perdra pas"
ça claque Non!
Oui Ritchie, c'était juste pour le mauvais jeu de mot (ces chênes qu'on abat) et faire passer l'inquiétude née de la deuxième mi-temps...
Il y a deux sortes de jeux de mots : les bons, et les très bons...
(Transcription d'une vanne russe à propos de la vodka)
Les bleus ont gagné une bataille, pour la guerre on attendra...
On est forts, costauds, le réservoir est bon. Les points tombent, un peu contre le cours du jeu. D'ailleurs, le jeu en vaut-il la chandelle ? Jouer n'est pas (toujours) gagner, pour des gallois maladroits (Byrne reverra longtemps en cauchemar ces deux pénaltouches trépasser en ballons morts). Alors que la réussite, la maîtrise et le talent de nos bleus sont bien effectives dans un "game plan" réglé comme du papier à musique, et répété, répété. Manque juste une mélodie qui suscite l'émoi. In fine, l'important c'est la victoire, pour chaque match, et pour le tournoi. Un an qu'on le serine celle-là. Il me semble que dans ce contexte, nos gars sont tendus. Mais qui peut jouer relâcher en EDF (hormis Michalak croisant au diable dans ses 22 pour un Poitrenaud emm... )? Les matches se suivent et ne se ressemblent pas. Le courage, le sérieux et le talent sont toujours là. La suite sera différente, à coup sûr, car ce tournoi réserve bien des surprises.
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