C'est notre Benoit. Sans lui, sans vous, les Crazy Rucks ne seraient pas les mêmes. Perdraient quelque chose d'élégant et de ferme, de délicat et de convaincu. Il fut le premier avec qui je suis entré en correspondance à l'origine de ce blog. 11 septembre 2008. Déjà. Affaire de sensibilité, de compréhension bien au delà des mots. Benoit et notre dictionnaire, qui ouvre d'autres horizons aux amis venus nous rejoindre, Seb et ses grands écrans, par exemple. Christophe bientôt, pensées en mêlées.
Benoit et Charles, donc. Une rencontre que je souhaitais pour donner chair à la Nouvelle-Zélande au quotidien. Voyage dont Benoit rêvait secrètement, et que vous trouverez dans sa version dense sur mon autre blog, Côté Ouvert. Jeantet retrouvant Juliet qui l'attendait. Ou l'inverse. Peut-être. Un moment passé entre gens délicats, amis du mot juste. Ou juste des mots.
Je vous renvoie donc vers un autre site mien. Parce qu'il y est possible de faire long. Et c'est bon, parfois. Parce que ce texte existe et qu'il doit trouver ses lecteurs. Alors, sortez d'ici et allez là-bas, vous ne serez pas déçus, ami(e)s de la Comme Fou. Nous restons néanmoins entre nous.
N'oubliez pas : samedi 7 novembre, entre 16 h et 19h, il sera encore question de rugby et de littérature à la librairie Mille Pages, à Vincennes. Mais avant cela, qui sera du Crazy Ruck à midi ? Benoit, Seb, Antoine, Vincent, Ritchie. Mais encore ?
17 commentaires:
Grand merci mon ami!
Merci à toi d'abord et principalement, Benoit.
Je ne ferai pas de commentaire sur ce qu'a écrit Benoît (quand le talent parle, les médiocres se taisent).
Heureux de vous retrouver samedi 7.
Pour l'adresse, vous me contactez ou vous demandez à Richard.
Pour le resto, je pensais à l'Olympe Sport café, situé à côté du Château, pas très loin de la librairie (un peu plus de chez moi, à une vingtaine de minutes à pied).
On pourrait s'y rendre pour 13h20, et prendre l'apéro à partir de midi chez moi.
Ca me convient parfaitement. J'ai demandé à Christophe (Schaeffer) de se joindre à nous. Pas de nouvelles de Nemer (vacances ?). Leon tape en touche. Pas de nouvelles non plus de Vincent PL et de Juanito.
Pour le resto, nickel. L'Olympe, c'est pour nous.
Le perspective de reformer la belle Equipe ( désolé Seb, celle-ci je te le chipe en prenant le risque de manger le surnombre) pour un midi...olympique ( voyez un peu comme je concilie mon monde) me réjouit à l'avance. Bises.
Antoine...à la commefou, point de médiocre...hein..surtout pas!! Nous sommes toutes et tous des femmes et des hommes de qualités. Bises.
Désolé les amis, mais je ne pourrais être présent
Benoit
Si j'ai bien tout compris, vous n'y êtes jamais allé en Nouvelle Zélande. Alors c'est la seule chose que je vous souhaite, c'est de pouvoir y passer un certain temps. Je ne crois pas qu'on puisse en revenir déçu. Y aller, ou y vivre au moment où il y a des matchs, et y comprendre pourquoi Byron Kelleher peut se retrouver pieds nus dans un super marché toulousain (cela m'a été raconté, je ne l'ai pas vu moi même, mais je le crois sans peine)
Bonsoir Christophe,
Et non, je n'y suis jamais allé. Et non. Les livres, certains livres dont celui de Charles Juliet, m'y ont mené. Mais d'autres aussi. Des reportages et des films, encore et toujours. Et je ne sais pas si- je ne crois pas y aller un jour. Un aveu à vous confier...avec l'age je me suis mis à avoir peur de beaucoup de choses ( des crises d'angoisse absurdes qui ont fait remonter d'anciennes phobies)...entre autres de l'avion...que pourtant j'adorais prendre...Il me reste l'amour du rugby toulousain. sur ce point, je ne changerai jamais. C'est ma danseuse. Voilà. Bien à vous.
ps: Pour Byron, ça ne m'étonnerait pas que...était-il accompagné des frères Boisson?
Quel délice de vous retrouver, il me tarde, car oui Benoit dans cette Equipe là point de zhéros juste des entités emplis d'humains qui se complètent pour former une dream team. Ce samedi là se sera le "7" type à Vincennes sortant du bois "Jason et les argonautes" ! Mais y aura t'il une "Médée"...?
Hello Seb ! Tu nous raconteras Bebel samedi 7 à l'apéro ?
Oui j'évoquerai, "Le magnifique"...
Après cinq semaines de punition, de frustration, de mollesse, de passion éteinte aux côté du XV de France, enfin une réunion de famille où la récolte ne se décrète pas. Elle se vit.
Good... Vince's back !
Hello Vincent!!!A samedi!!
Benoît....
Comme je vous comprends.... Moi qui ai si peur de l'avion, j'ai jamais autant aimé le prendre que pour aller là bas (3 décollages et atterrissages) avec en bonus dans le dernier vol une vidéo spéciale enregistrée par les joueurs de 2011 en guise de consignes de sécurité. Et l'annonce en plein vol de la victoire des blacks en demie.
Et la première fois que j'ai dû prendre l'avion à 22 ans c'est pour pouvoir rejoindre Paris pour la finale Agen Bayonne car je travaillais le matin et que la finale avait lieu l'après midi...
Le rugby m'a fait prendre l'avion. Je ne vous souhaite qu'une chose, c'est de "dompter" cette phobie (il paraît que certaines thérapies courtes fonctionnent très bien pour l'avion).
Je ne pense pas que Richie ne puisse pas confirmer que c'est un pays à la fois si loin et si proche...
En tout cas je suis heureux pour ce pays et son rugby...
Je constate que Côté Ouvert se la ferme sur ce coup-là !
C'est qu'on a des pudeurs de rosière...comme un bleu débarquant au banquet des noirs, le silence se faisant soudain, gênant.
Bon, Sylvie aurait dû en être, elle, qui sut d'emblée intégrer cette virile communauté mais qu'une santé hélas pas à la hauteur de l'énergie de son propos, empêche.
Mais les autres ?...Je serais pourtant bien volontiers, moi, devenu un rosier de monsieur Ritchie, m'encanaillant sur la route du château !
Mais, faudrait peut-être échanger quelques passes supplémentaires histoire d'assurer, le moment venu, la qualité des transmissions...
Et pis mon employeur sachant , lui, que j'ai même pas peur de l'avion, le 7, je lèverai donc haut, à bout de bras, mon mojito, à la gloire de comme fou tandis que j'aurai le cuba.
Je réponds très volontiers à l'invitation de Ritchie ce samedi et serai très heureux de rencontrer la fine équipe dont on m'a dit des merveilles ! En ces temps post Coupe du monde et donc souffrant du syndrome de rugby blues (sans évoquer ici la sévère jaunisse contractée par notre XV de France), rien de tel qu'un déjeuner (via apéro) entre gens compatissants pour reprendre le dessus... À très bientôt donc !
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